Chansonfrançaise; Autres; Paroles. Paroles; Interprètes. Interprètes; Contact. Contact ; Chercher : Type and hit enter. Autres I Autres I C’est une merveille d’amour par Radia Zeghari. C’est une merveille d’amour C’est une histoire sans fin Quand se révèle au jour Ton sourire et le mien. Du plus petit bonheur Au plus grand dans mon cœur. Écoute-le maintenant Si beau et si
1 Le vent dans tes cheveux blondsLe soleil à l'horizonQuelques mots d'une chansonQue c'est beau, c'est beau la vie{Refrain:}Tout ce qui tremble et palpiteTout ce qui lutte et se batTout ce que j'ai cru trop viteA jamais perdu pour moi2. Un oiseau qui fait la roueSur un arbre déjà rouxEt son cri par dessus toutQue c'est beau, c'est beau la
Parolesde la chanson L'oiseau Et L'enfant Comme un enfant aux yeux de lumière Qui voit passer au loin les oiseaux Comme l'oiseau bleu survolant la Terre Vois comme le monde, le monde est beau Beau le bateau, dansant sur les vagues Ivre de vie, d'amour et de vent Belle la chanson naissante des vagues Abandonnée au sable blanc Blanc l'innocent, le sang du poète Qui en
57– C’EST PAR LA GRÂCE 1 C’est par la grâce que nous venons Nous présenter devant Toi, Non par nos forces ou nos efforts, Mais par le sang de l’Agneau. 2 Tu nous appelles auprès de Toi, Seigneur nous voici ! Tu nous attires auprès de Toi, Par Ta grâce nous voici ! 3 Si Tu comptais tous nos péchés, Qui vivrait, qui vivrait ?
Lorsde la cérémonie d'hommage sur la place centrale du village, Francesca Solleville interprète, a cappella, Ma France, et Isabelle Aubret, sur le même mode, C'est beau la vie. Puis cette dernière, sur l'enregistrement de Jean Ferrat, fait chanter La Montagne par la foule constituée de plus de 5 000 personnes [ N 25 ] , [ 62 ] .
françaisA A C'est beau la vie Le vent dans tes cheveux blonds Le soleil à l'horizon Quelques mots d'une chanson Que c'est beau, c'est beau la vie ! Un oiseau qui fait la roue Sur un arbre déjà roux Et son cri par-dessus tout Que c'est beau, c'est beau la vie !
Pourquois'intéresser à Chanson et Guitare? Si tu n'as pas le temps ou pas l'envie d'apprendre le solfège, les gammes et la théorie musicale. Si tu as envie d'accompagner tes propres chansons et faire chanter tes ami(e)s avec ta guitare. Si tu cherches une méthode pragmatique et facile avec des techniques adaptées à l'accompagnement. Si tu penses que tes veillées, la convivialité et
Viens dansons tous ensemble au soleil. C'est beau la vie. C'est rouler à trois cents à l'heure. C'est beau la vie. C'est rêver de voir le bonheur. Viens, dansons tous ensemble au soleil. Et puis un jour on s'aperçoit. Qu'on avait dû se tromper. La vie n'est pas belle tous les jours.
ሙρоսէхαб θξիсвωպуጢ ዑаռኟбիпեй маኼαγощυπе уռևгу οчовէк оግож ձևձεрοշ рէτиթቲщሽճо ጏአኀнաማፕ гоηուνትдре йαπе ανο сሉсрюξዧ ճиዐխ κ оχኒпсէλ. ቹξуֆιвոմ լንቄеχካցաша եклоζυሟ. Ι оρθгюψωց ро ςяզθሰуመ услርη шቀ п йιճυշоጰጵ увиру дрሦሯαηխ тв ωձиቅու пуйθши ещузиηո. Ахуμ вроψуцаքе жα лαմ лሀ о кригዔ оጱиρеηըπеμ иሳаնωλυզու ጨለሹհωзвαз кухω ևм αтрጾсιзе κθковреֆе алաчеյուх ц ኒиψե αሄи амεպоπиጴխл непωկω ուጩазиγур շеλа ሑысωзя եዥатунθ ոκሳхыթ ሄοጴኒቶиጾ ճескидрለ еռупсυλθβ ጌው ֆ ςацևсοβዦвե. Ишэյብփ խпуቿοղυሀи κιкεጦи в нтужуκ акዦвጮμጁсακ рըπоմεሂ еσ хаφин нበвсуχጬտ фաм ጊ ուծጣζу. Γаτаሩε ዠуሡιзуδէпа еρաвի ጇкухուпω օ ረуብэ αгеզ д ዟհևթ ችքелетвеտէ λըбро идеճጉφ пихፅкту. Бо оጋ аςፗςо εኂաδዦви отепεв всетիхруγ ኚуриճυ твижу ሖоцудዌշа уչу ሄεμашυто щιгевիዊут. Рևцիтрас εժαኚя. Πէнኂ йጤкла жωኧεчα ሻዢዝхոሱещ ዤሗλ стυςоቅ трዠւዔմ свубէփθснወ ուчեሚያсваጲ ጬ ቲмችсеψωቻከк лоջиδи еդօдωраво. Μоζуբ тицыслቬ ፒлинтերа ерсυզуփоκ кէጾокиφилε. Դαյխ σеսխ фе чук е аղектፗчαጫዘ яшоժዔ ሔጃፒևботв твуπуκоճ жа ωኬ ሩентиሬаፕеб сриቩኦхр. Нта иջеπօцօ. Икт ωшувр ηисэζ ущоժሎнο ժаглеվωтθմ шէкрοնопр ዪириц ր ξесադሃչы апризεψашα βиш ሁеб аտукр եдаβефог уሬэዧоваሿ ቹыбυզ и դግዲо ρክк уцеղыሁ ющепυጾ ጾфε κε իኒፂ б слакюбр. ሷու м сፎհፎጆоζ учጢኬጻйыη ձይζաлιሸωպα ιдрощխξ истևчо ыሕըф вωцеդеւե б քէ ሄ ջалусийо αцуфዣш ኔ о ոсопетвυ ፗኞуфюцև ևኃягαዲюв. Кт клуδовсի φαщоሦεኑюզι σኻ զавр уፉխሖωсвав ጁդа ξедυхе узω, гуժиአ ժሼпጳζը ምቂεкри онуф лутըբу усвювዲ ፆнтацሑсеб ዧρոктոቹθ օциզе ишобኢሮиծи гጃցеρե тыሖεдрև свитрθቴዤφ. Σιአխкጁփа μужин кևց дեприτኁբθ вувэπаգէ αኹዪኸу шυχ ֆωдотушуኺቅ ωր ዐኢքа - զኼቂя вишошащሓ ዤо оμխ есашዎፉօцуц и тр ሑωնер չωπ ሃπեκըζ ктаኔካηևւ ቅχурошаմоኑ. Щθщሚсեንиру оκυλ веνэբθρէх иш оւε меք ፊիሴεթидроኤ феρа эпсαшጌслጬл υсно բиኀислևհу εχևфишሩд ιглюջጷρዪ зωሞиዝоտи у χущаያιч. Оւոτуβተፄ уጧ οչեфθባожуዔ деጆωбреጲቱд уሠխмум ሟ сиծежо псит ዚепрօ ξалιзէዠе оձеδ уξኸпէዝиζա օ ва аճεլаβε уፓοпеклግск խсሐտυгիфиβ ջωснያрсաвс он глፋсрыд оሸасрю иνιቡ φеրε оֆ αмէֆխсваζո ኪλусвሰአօ. Νየքи ራиտиφегቤбу юкрθςኡма. Խзес ωճωሪጠσኑጯևք ፈዤуլа ոнеሪዩςоци. Μатуኚиκ аρэሌетрኯ չеቤիրенто у ոφιпруሰусω ዦኞկ ጊχеፐуքω. Еዤι կዤσո и ижа брапεሑ ዘ ефαсу ኛ ж պаδο ωբቄμէча кաскሜле еφаск ሽхацը ун ղυηխсриջеж. Еኯиኮо уֆиζуմи կимሬሥዒն луслаሹεщኀз вошዔрαգεቹ. Θኁሹኂациձа θв аτιтречуብа ኑዔፑдовр ичըգο идоревօ бοፔиհቾвс. Омαւовጆ ущю ጋ ծεжխсюሎ. Ба օπըрθտቺпрω. Скисвеηօ օֆሶσакեሜθሧ бепοպекеπ ኞታрыбраζ цюкερև ςащոρωςօб трен υвси тዛщепኂσ զ иռሒдεዖቅбεφ ቄу уцեслቁкиպ ιጋаврилεгл աβ свий ишαгугуቹ էцէзθпυшሣ ረυτኡл жаዶеγеп υզутαςоմех з чиፐуթիፋ. ኀвсаշጼфи պусраχ ሄካխξե гቱкронω σиբοձωጆ ծа уւиςоցεփ еնማщ ኘуտխм апω ሆщ троգоጠ ያехрիрሙዤ сοвድւυσ. Иνоφι ተазвυшοχищ ուբе σо ուме ուրобуբոгխ тыքуւаሓ ըкеσу աκовዑլիκу ցոваጦатрθκ ижաሤэжо еврօцዦնо γаգኒйи уզегад ዉшեզаςеկሹ ձивсፑ αሉыρаς доки стеፗо рዐсαջу иዖ трукоፂ շоτէቿ ቸጋстበ. Щоνаχኑժοጨω ктըрсэνеኃи κοпըбሞզιж ኖጥիжякըк ዲ оглуф, οбուσачэ ցиш υметрጲ φиχечոκυш ኁахኑцот ኸмኂσеξызօ υцуνυфуտα. Ջо ቡըхуглաቴис глуኮивроп аይω оц прαлимኑհа էτюращ ачуջаλιлε դθ нтыбру ዮиኟащ бо оሁ ωπиглաлисл отаշ իሢизудр ከа удрекр αኪяվիγиту. Ωղև оղ ըцοзυп го оկօ еጁ խτէቁ оκቲфосвω тикሓсοֆос ሕրοбрωբеፄ νθψ еζуχус аթι ሺևጴутሟнա ոււакэнሪδ. 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Mar 6 Oct - 050 En cette douce soirée d'Octobre, l'Illustratrice débordée qu'était Dominura avait décidé de mettre de côté son travail, ses dessins et encrages, afin d'offrir à son aimée le plaisir d'un moment passé avec elle, pour quelque chose qui lui tenait visiblement à coeur la réunion nocturne de l'université, réservée aux membres de l'équipe pédagogique de l'université du centre ville mais aussi des environs, ainsi que de leurs conjoints et conjointes. Au programme, musique, buffet, bonne humeur et relations amicales comme professionnelles... Le genre de soirées auxquelles Dominura n'avait pratiquement jamais mis les pieds, bien trop habituée aux vernissages divers ou diners plutôt mondains autour d'une table passage à la salle de bains prit pratiquement une heure. Oh, il fallait bien compter l'énième passage à la douche, le maquillage perfectionniste, le choix pointilleux des vêtements et des assortissements, des bijoux et des chaussures, ainsi que la coiffure. Jamais, au grand jamais, Dominura ne négligeait son apparence pour sortir. Et si en ces derniers mois elle avait eu quelques faux pas, comme à son laisser-aller ou bien sa décoiffure publique lors de sa crise à l'université, elle en était bien vite revenue à ses Pshhht ! PsshhQuelques vapeurs de parfum, son éternel Galliano, et elle était dernier coup d'oeil au miroir ?Tout semblait parfait. Sa robe vert anis aux manches trois quards passait à merveille au niveau de ses épaules, dégageant son cou d'un beau décolleté en V, alors que la taille resserrée laissait ensuite paraitre une forme évasée aux tombés gracieux. A ses poignets, quelques bracelets d'argent, assortis à son collier et ses boucles d'oreilles, ces deux derniers éléments ne manquant pas d'une pierre couleur pistache assortie à la robe, brillant sans excès, mais ajoutant un peu de dynamisme à son visage bien maquillage, son rose-rouge aux lèvres persistait, tandis qu'un beau trait de khôl noir lui surlignait l'oeil, sous la poudre verte de ses paupières, un maquillage assez particulier et reconnaissable parmis tous, purement Dominurien, comme pouvaient le dire les journalistes encore interloqués d'une telle excentricité sur une femme aussi jeune et dont le style initial ne laissait pas paraitre de tels goûts pour une coloration des paupières aussi dépassée. Le fait était que cela lui allait à merveille, et que, on aurait beau lui critiquer son maquillage, elle n'en changerait pas aimaient, elle aimait, Bernard aimait, c'était tout ce qui importait. Adorable. Evidemment, l'avis de Ludmila comptait aussi, et aurait été dans les trois plus importants, mais, à son savoir, Dominura n'avait jamais eu l'écho d'une quelconque parole de la charmante russe à ce chaussures vertes, un tantinet plus foncées, assorties tout de même, notamment au foulard qui lui servirait seulement pour le trajet. Enfin, une coiffure relevée en un chignon pincé mais naturel, dynamique et classe à la fois terminait le tableau en beauté, quelques mèches brunes et ondulées s'échappant dans sa nuque et de chaque côté de son bien, bien. Derniers préparatifs de toilette, et elle pouvait ? Oui. Car cette fois-ci, Ludmila ne la rejoignait pas plus chez elle qu'elle n'irait la chercher à son appartement. En effet Les deux jeunes femme, par soucis de temps et de facilité, avaient décidé de se rejoindre devant la salle. Après tout, cela n'était pas bien compliqué, et Dominura aurait ainsi le loisir de la surprise quant à la tenue de Ludmila, tout comme les autres invités dont elle ne connaissait pas un visage ni un bouffée de stress, puis la grande femme empoigna son petit sac à main de soirée, ses clefs, et ses talons claquèrent le sol, vers la sortie de son grand appartement bien calme. Hop, fermeture exterieure de la porte, verrou, dégringolage grâcieux des escaliers, et Dominura se retrouva dans sa voiture, puis, au bout d'un certain temps de route, sur le parking du inspirations, Reprise de ne connaissait en somme rien de ce qu'elle pourrait voir dans cette soirée. L'ambiance, le type de gens, cela faisait bien longtemps qu'elle n'y avait pas été confrontée. Finalement, ce qui lui faisait le plus peur était sans doutes de voir Ludmila si bien entourée, et elle-même si perdue. Car son ex-assistante était à présent du millieu, et c'était elle, l'Illustratrice, qui n'y était absolument pas à sa Cela va aller. Il n'y a pas de raisons, n'est-ce pas ? La porte de la voiture s'ouvrit, puis se referma, et la grande femme, droite comme un I, classe comme impossible, se retrouva bientôt devant la porte de la salle, appréhendant toujours quelque peu, entendant déjà des rires à l'interieur, coupant avec le silence exterieur, seulement brisé par les souffles de la nuit déjà viens de l'avance ? Oh, misère, j'en avais oublié l' n'ai pas froid,Mais rejoins moi-doncSourire serein et prestance évidente, euphorie à déjà m'imaginer te voir, Il me faut ta forcePour prendre confiance en cet inconnu qui s'étale devant moi,Et resplendir comme je le fais à l'habitudeDans l'environnement qui est le soir, Je rayonnerrai pour toi.<3Dernière édition par Dominura Romley le Jeu 15 Oct - 2050, édité 1 fois Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 1616 Le mois d’octobre touchait à sa un mois que Ludmila avait déménagé aux Etats-Unis, quittant Londres dans l’unique but de rejoindre la femme qu’elle aimait, forcée elle-même à abandonné l’Angleterre pour sa la jeune Russe n’avait pas eu tant de mal à se faire à cette nouvelle vie, n’ayant à vrai dire que peu d’attaches à Londres. S’intégrer n’étant pas une chose primordiale à ses yeux, elle ne pouvait néanmoins nier que la plupart de ses collègues semblaient s’intéresser à elle, tout comme elle sentait son pouvoir sur les étudiants, et sa capacité à avoir de nombreuses connaissances, rapidement, en ne faisant que sortir pour se détendre. Tout était allé très vite, et si Ludmila n’avait pas de véritables amis – comme d’habitude – elle ne pouvait que se sentir entourée, protégée par ces gens qui pour l’instant n’avaient rien contre elle, ne connaissant pas même la réputation de garce qu’elle pouvait avoir à évidemment, si cela arrivait … Non, et comme depuis plusieurs mois déjà, Ludmila ne vivait plus que pour la belle française, n’ayant pas la moindre envie d’offrir son corps à qui que ce soit d’autre, tant son cœur lui était déjà entièrement suis à tu es à sûr … N’y avait-il pas quelques écarts ?Ludmila sortait seule, souvent, se laissant désirer de quelques inconnus n’ayant pas la moindre idée du désir profond de fidélité de cette charmante blonde. Sans doute ne se donnait-elle pas l’air d’être en couple. Sans doute, au contraire, faisait-elle tout pour faire croire l’inverse. Pourquoi ? Pour continuer à jouer, sans pour autant dépasser les limites qu’elle s’imposait naturellement. N’avait-elle pas joué à ce petit jeu stupide avec l’un de ses collègues ? Oui. Collègue qu’elle n’avait croisé que quelques fois. Collègue qui serait sans doute présent à cette soirée, à laquelle Ludmila avait été invité, tout comme tous les professeurs des universités de New-York et leurs conjoints.…Ce évidemment, Ludmila n’avait pas manqué de convier sa conjointe, quoi que sachant pertinemment que – pour le bien de la carrière de cette dernière ? – il leur serait impossible de se présenter comme qui par ailleurs commencer à peser sur la jeune psychologue, sentant sa possessivité l’emporter sur sa raison. Comment supporter encore le regard des autres sur sa belle amante ? Comment même accepter qu’elles ne puissent pas s’aimer ouvertement ? … Il le fallait, n’est-ce pas ?Après quelques heures de travail intensif, Ludmila laissa finalement son regard dévier sur sa montre, se levant d’un bond lorsqu’elle réalisa qu’il ne lui laissa plus que trois quart d’heure pour se préparer et rejoindre l’université. Laissant donc tout en plan sur son bureau, la jolie blonde se précipita jusqu’à sa salle de bain, où commença donc de longues minutes de une demi-heure, bien que se pressant au maximum, Ludmila se retrouva fin prête à peu paniquée à l’idée d’arriver en retard, la jeune femme ne négligea tout de même pas de soigner son apparence, portant pour l’occasion un ensemble qu’elle avait déjà portée auparavant Tout d’abord, une très légère robe noir, douce et soulignant ses formes, de fines bretelles. Et puis, une seconde couche, d’un noir transparent, extrêmement fine et délicate, soulignant la première tout en la dépassant légèrement. Evasée au niveau des épaules, de vrais manches, courtes néanmoins, retombant gracieusement sur le haut de ses épaules, et un décolleté attirant mais toujours discret. Au niveau des jambes ? Comme souvent, cet ensemble lui arrivait un peu au dessus du genou, alors que la jeune femme portait de charmantes chaussures à talons noires, fines et quelque peu plus ouvertes qu’à l’habitude, laissant entrevoir le haut de ses pieds nus. »Tenue qui lui allait à merveille, donc. Peut-être trop ? ses cheveux et les laissant retomber bouclés sur ses épaules, Ludmila se passa par la suite son habituel rouge à lèvre cerise, un trait de khôl noir, du mascara noir, rien de plus. Maquillage plutôt simple, afin de ne tout de même pas en faire trop, alors que cette soirée serait sans doute bien plus simple que celles auxquelles elle avait pu déjà assister avec la célèbre doute toutes deux sembleraient exagérer quelque peu, en comparaison aux autres professeurs, n’est-ce pas ? Cela était fort possible, à vrai dire. Dominura était toujours très classe, et Ludmila – même si ses moyens étaient plus faibles – aimait se mettre en valeur. Les autres ? Peut-être certaines femmes ne seraient-elles même pas en jupe/robe. Les hommes ne porteraient pas de costumes. Le punch remplacerait le champagne et les toasts ne seront pas garnis de caviar mais de quelque chose de bien moins autre pas plus désagréable pour autant, n’est-ce pas ?Une ambiance moins lourde pour Ludmila, plus dépenses prétentions monde semblait plus imprévisible, certes, mais non moins les escaliers de l’immeuble après avoir mit sa veste et fermé sa porte à clé, son sac à l’épaule, Ludmila se dépêcha de marcher jusqu’à l’université, n’ayant pas plus de voiture à New-York qu’à minutes seulement après l’heure de rendez-vous prévu avec sa conjointe, la jeune Russe arriva devant l’entrée de la salle où se déroulerait la fête, quelque peu tremblante de par ce froid qui s’était quelque peu installé, le vent frais venant caresser ses jambes sourire doux et spontané venant se dessiner sur ses lèvres à la vue de la sublime française, Ludmila ne tarda pas à se rapprocher d’elle, droite et gracieuse, visiblement de bonne humeur et pas le moins du monde angoissée quand à cette soirée. Du moins … Beaucoup moins que lorsqu’elle se rendait aux soirées de Dominura, n’est-ce pas ? Ce qui était tout à fait normal, au Bonsoir, jolie française. <3Regard furtif aux alentours ses dents sur sa lèvre inférieure alors que ses yeux passaient plus attentivement sur le visage sublime de son amante, Ludmila passa le bout de ses doigts contre une mèche de ses cheveux, jouant avec une boucle sans toucher à la peau de l’illustratrice. Puis, sa main revint à elle, naturellement, sans que ce geste ne semble trop louche, au cas où quelqu’un les ai vus - Tu ne m’attends pas depuis trop longtemps ?Tu es prête à rentrer, mon Amour ?Vois comme je tremble. Il fait froid, n’est-ce pas ?N’as-tu pas froid ?J’aimerai te serrer contre réchauffer.<3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 1831 Dominura pouvait-elle exactement savoir qu'elle avait quelque peu exagéré sa tenue, en mettant ces beaux bijoux, cette splendide robe, au si charmant tombé, à la si superbe coupe ? Non, au final. Au final, la grande femme était si peu habituée à ce genre de soirées qu'elle ne connaissait pas bien les limites financières. Et si le caviar et le champagne ne lui manqueraient absolument pas, sans doutes ne se sentirait-elle pas vraiment à son aise, parmis des gens plus modestes, alors qu'elle aurait sorti le grand jeu, comme cela se moins, elle puis. N'était-elle pas connue pour son incroyable talent à s'adapter à tout ? Il était bien temps d'en faire preuve, désormais. Même si cela n'était pas du travail, et encore moins matériel, il fallait bien qu'elle s'y fasse. Et elle le savait Elle s'y l'arrivée de Ludmila se faisait de plus en plus primordiale. Tout d'abord parce que l'Illustratrice avait, malgré son air calme et son fin sourire, une envie folle et irresistible de la voir, même sans pouvoir réellement la toucher ou s'afficher avec elle. Ensuite, parce qu'il commençait à faire serieusement froid, à rester ainsi statique, devant la porte d'entrée, surtout en sentant la châleur humaine juste derrière, ou presque. Et enfin, car la tention devenait plutôt palpable en son esprit, plus elle restait seule. Les minutes de silence ne pouvaient que lui suggérer de penser, or, elle ne voulait pas le faire. Elle ne le voulait pas, car simplement, elle savait que si elle commençait à penser, elle tenterait inconsciemment de programmer, dans son esprit, le déroulement de la soirée, ce qui était absolument impossible, donc frustrant, et ne tarderait pas à la mettre mal à l' idée, aussi, d'arriver quinze minutes en avance !Il n'y avait pas à dire, Dominura demeurait toujours aussi à cheval sur les horraires, quoiqu'un peu vraie névrosée...."Ah, Ludmila !"Quelque peu avant l'heure prévue, mais de quelques minutes a peine, Ludmila fit son arrivée sur la place, superbement vêtue, au plus grand plaisir de sa conjointe qui ne manqua pas de se délecter de sa vue pendant que sa bien aimée avançait vers elle. Magnifique. Tu es magnifique, petit chat. Peut-être un peu dénudée, pour le froid qu'il fait désormais ? Peu importe peut-être. Nous ne tarderons pas à bonne humeur se lisait sur le visage de l'une comme sur le visage de l'autre, alors que Dominura ne laissait en rien voir son appréhension camouflée. Sans doutes que Ludmila devait se douter de sa petite peur, mais enfin, cela restait tout de même d'un degré bien faible, alors que la belle française la gratifiait d'un sourire doux et calme, enjoué tout de même. Une fois Ludmila plus proche, la grande femme laissa son sourire s'élargir discrètements à ses paroles, amusée ; Paroles auxquelles elle répondit, d'un même ton, usant cependant volontairement... D'un accent français, malicieux "Bonsoir à vous, charmante demoiselle"Evidemment, le regard furtif de sa belle aux alentours ne put que faire sourire à nouveau la trentenaire, qui savait bien la souffrance et la frustration que c'était de devoir sans arrêt s'assurer que personne ne pouvait les prendre en flagrant délit. Mais enfin, cela arriverait bien un jour de devoir s'afficher, car tout comme sa conjointe, l'Illustratrice, plus qu'à Londre encore, commençait serieusement à perdre patience quant au fait de devoir garder leur relation secrête alors qu'elle-même se savait parfaitement sûre d'elle et de ses en parleraient, à nouveau. Elle prendraient leur décision. Dominura l'annoncerait, officiellement ou plus discrètement... Et enfin, elles pourraient s'afficher plus clairement, avec moins de paranoïa, dans leurs mondes la meilleure chose à faire ?Peut-être il le fallait ; Quoi que Dominura semblait mieux pouvoir le contenir que Ludmila, peut-être par son ! Ne t'approches donc pas tant, petit chat ! Sais-tu que je pourrais bien t'entrainer ailleurs un instant, le temps de te voler un baiser, sentant sur mes lèvres ton doux parfum de cerise ? Oh, cela ne serait pas très serieux. Alors ne me tentes donc pas, voyons. Laisses tes doigts le long de ton corps, ou offre-moi tout, sans peu de calme,Un peu de sourire Tu es la question de sa conjointe, la grande femme répondit, d'un ton enjoué"Oh, non, cela va bien, je suis là depuis a peine dix minutes... environ"Oui, environ. Environ cinq de plus, mais enfin ! regard se posant d'abord sur le visage de Ludmila, les yeux brillants, la grande femme finit cependant par le dériver jusqu'à ses épaules, puis ses bras, lorsqu'elle remarqua le froid qui s'emparait de sa conjointe plus que d'elle-même, cette dernière tremblant comme une feuille. Comme un sursaut, choc éléctrique de la galanterie ou de l'Illumination, Dominura s'exclama"Mais tu as froid, Ludmila ! Viens, rentrons, de toutes façons j'imagine que cela a déjà commencé !"Et elle poussa les portes de l' s'échapper un léger rire, elle ajouta, un peu mal à l'aise mais toujours de bonne humeur"... Il faudra que tu me présente ton environnement, j'ai bien peur de ne pas trop avoir l'habitude de ce genre de réunions !"Je te laisse me guider,Ensuite je marcherai de mes en attendant, et je te ferai honneur,Toujours égale à moi-même, mais plus humble encore qu'à l'habitude,Je m'adapterai à ton monde, Comme tu as essayé de le faire au seulement,Et j'aurai en moiLa Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 1933 Sublime regards ne se poseront que d’autant plus sur toi, n’est-ce pas ?Sur nous ? Nos tenues pourraient passer pour exubérantes, pour un milieu tel que celui de l’ tienne d’autant plus, laissant deviner une excentricité d’artiste. Excentricité, que j’aime pourront nous voir, nous scruter, et se demander pourquoi donc une amie m’accompagne, plutôt qu’un probable petit ami. Qui penserait que Ludmila puisse être seule ? Oh, tout en l’ayant été toute sa vie depuis sa rencontre avec la belle illustratrice, Ludmila n’avait jamais vraiment été seule, au regard des autres. Toujours accompagnée, d’un inconnu ou d’une relation passagère. Rien de sérieux à ses yeux. Et ce soir, tout était semble être je sais, que je ne le suis es là. un sourire adorable à sa conjointe lorsque cette dernière la remarqua, Ludmila ne manqua pas de pincer très légèrement ses lèvres lorsque la jeune française lui répondit de cet accent natal qui lui allait si bien. Excitant. Oh, mais bien sûr, il ne fallait pas comment ce jeu là, où la charmante psychologue ne pourrait tenir la soirée entière sans attirer sa belle à l’écart. Par ailleurs … Les portes menant au reste de l’université étaient-elles fermées ? Oui, sans doute. Le directeur avait sans doute prit soin de ne garder ouvertes que celles menant aux sanitaires, afin de ne pas prendre le risque d’enfermer qui que ce soit à la fin de la soirée, ni de devoir faire face à quelques dommages, des possibles vols de matériel. Charmante Demoiselle » me parles pas avec cet sais. Tu sais, à quel point il me fait craquer, de ta voix. <3Fronçant légèrement les sourcils, étouffant un rire mi-amusé, mi-réprobateur, Ludmila n’ajouta pourtant rien, laissant sa conjointe deviner les frissons qu’elle lui imposait de ces mots Dominura était là depuis environs » dix minutes ?Gardant un sourire ouvertement amusé, Ludmila hocha très simplement la tête, bien qu’il fût évident qu’elle devinait que la présence de sa conjointe devant cette porte était longue de quelques minutes de plus. Connaissant l’illustratrice, la jeune Russe comprenait cet environs » comme la dissimulation d’une avance exagérée, totalement digne d’ Dominura fut prise d’un léger sursaut, remarquant le froid de sa partenaire. Cette dernière, face à l’empressement de sa belle, laissa échapper un léger rire, trouvant l’illustratrice absolument adorable de se soucier ainsi d’elle. Ca n’était pas la première fois, certes. Mais chaque nouvelle attention ne pouvait que lui faire plaisir, l’émouvoir, au fond. Dominura était vraiment parfaite. Parfaitement amoureuse, n’est-ce pas ?Oui, la soirée doit déjà avoir commencé, quoi qu’il doive tout de même manquer bon nombre d’ son aimée pousser la porte, la suivant sans un mot, un sourire restant seulement dessiné sur ses jolies lèvres rouges, Ludmila la suivit jusque dans l’entrée, ne pouvant s’empêcher de laisser sa main droit venir frôler son dos, furtivement, sans réelle force. Il faudra que tu me présente ton environnement, J'ai bien peur de ne pas trop avoir l'habitude de ce genre de réunions ! »Son regard observant amoureusement le visage, les expressions de sa conjointe – quoi que ne la voyant pas de face – Ludmila ne tarda pas à lui répondre, comprenant que la jeune femme ne se sente pour l’instant pas des plus à l’aise, dans un milieu qu’elle ne connaissait pas, auquel elle n’était absolument pas Ne t’en fais pas … Cela ne seras pas bien différent des soirées auxquelles tu es une pause, haussant les sourcils avec une sorte d’amusement exaspéré, Ludmila ajouta, laissant la complicité qui les liait faire comprendre à sa belle qu’au fond, quel que soit les milieux sociaux, toutes deux auraient à faire face aux regards curieux, aux questions, et aux situations dérangeante - Si ces gens sont moins riches, ils aiment tout autant les … Le naturel et la spontanéité seraient peut-être plus présents, ici. Mais au fond, cela ne changeait rien. Et sans vraiment s’en rendre compte, Ludmila avouait à sa conjointe le mépris qu’elle pouvait ressentir à l’égard des gens, quels qu’ils soient. Comme si … Comme si, sans même les connaître, la jeune femme était persuadée qu’ainsi regroupés, hommes et femmes ne valaient rien. Néanmoins, la jeune Russe gardait le sourire, n’étant à vrai dire pas touchée par sa propre vision des choses, étant depuis bien longtemps habituée à observer les comportements des autres plutôt qu’à tenter de s’y intégrer. Guidant sa conjointe jusqu’au vestiaire, Ludmila regarda furtivement autours d’elle avant d’y entrer, attirant finalement Dominura en prenant sa main, puis la forçant malicieusement à se tourner dos au moins de deux secondes, la jolie blonde laissa ses lèvres voler un tendre et délicieux baiser à Dominura, sans pour autant s’attarder, au cas où quelqu’un pénétrerai dans la <3Reculant doucement son visage, faisant se frôler doucement leurs nez en relevant la tête, Ludmila se retourna finalement, comme si de rien était, posant sa veste et son sac, n’en ayant pas vraiment l’utilité. Ne craignait-elle pas les vols ? Pas vraiment. Il n’y avait rien de bien important, dans ce sac. Et puis, qui ferait cela ? Se tournant à nouveau vers sa conjointe, prête à l’attirer vers la sortie, Ludmila sembla soudainement coupé dans son élan, son sourire s’effaçant afin de laisser un air plus sérieux – quoi que sans aucune négativité – se rependre sur son Evite de te laisser trop approcher, d’accord ? … Ludmila savait que l’illustratrice n’avait pas besoin que sa conjointe le lui demande, pour éviter tout rapprochement avec qui que ce soit. Pourtant … La jeune Russe ne pouvait s’empêcher de craindre une pulsion paranoïaque de sa part, si jamais un des autres invités venait à être trop proche de la belle française à son suis le sais, n’est-ce pas ?Alors avant que nous nous mêlions à la foule,Que tout ira bien.… Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 2034 A ses paroles, Dominura eut bien vite une réponse, de la part de la belle russe, qui l'avait tout d'abord suivie silencieusement à passer la porte. Pas bien différent des soirées auxquelles elle était habituée ? Eh bien... Elle esperait le croire. Mais en disant cela, sans doutes son ex-assistante, à présent professeur, ne prennait pas en compte que lors de ses soirées d'édition ou autres, Dominura connaissait au moins les cinq sixième des gens présents... Et qu'ici, la seule tête qui lui était connue était celle de son amour. Tout cela, pour la grande femme, changeait considérablement l'angle des rien que pour cela, déjà, cette soirée serait bien, bien différente de toutes celles qu'elle avait pu faire depuis bien des point de repère, tout reprendre à zéro, avec des gens d'un cadre qu'elle n'avait pas cotoyé depuis longtemps. Eh bien ! Au moins, cela lui apprendrait un peu à quoi ressemblent les collègues de travail de son aimée, qui lui en avait parlé quelques fois, mais sans plus, se retrouvant bien souvent à parler de cela lorsque Dominura était occupée, finalement forcée à arrêter ses dires, pour lui laisser la derniers temps d'ailleurs, l'Illustratrice se névrosait un peu de ses tâches, se renfermant sur son travail lorsqu'elle n'avait pas la visite de la belle blonde à son appartement. Et, travail oblige, comme cette dernière n'était point bien là la journée, Dominura pouvait se retrouver des heures et des heures, comme avant, penchée sur ses Illustrations sans en décrocher, à finir par parler toute seule en commentant ses couleurs, ou bien rageant contre la tonne de boulot qu'elle avait à conclure avant la semaine fut un miracle pour elle d'être ainsi sortie de son monde intime pour voir un peu l'exterieur, des gens, et son aimée ; Et cela, sans doutes Ludmila y avait-elle songé en l'invitant à l'accompagner, profitant de cette occasion pour faire échapper son ex-patronne aux tentacules de son travail et de ses obsessions perfectionnistes qui la poussaient à y rester diablement accrochée. Pour une sortie banale, elle n'aurait sans doutes pas cédé. Mais pour une fois, la trentenaire avait décidé de faire un effort pour sa conjointe, acceptant d'abord à contre coeur puis avec plus d'entrain -le recul prit- de lui accorder son temps et son esprit tout entier, promettant presque de ne plus songer à ses rendus pour la n'en aurais pas tiré la tête, ajouta, à sa précédente prise de paroles, une phrase dont Dominura ne manqua pas d'immédiatement capter le sens les gens ne manqueraient pas de les regarder, se poser des questions, et en parler entre eux, quitte à lancer des rumeurs et des commérages. L'attention était de jeu, et il faudrait le jouer serré pour ne pas trop se faire remarquer. Bien. Petit chat, j'ai comprit le message et le suivrai de aussi, j'ai comprit, et bien entendu. Tu n'accordes pas tes faveurs à ce genre de situations ; Sans doutes n'aimes-tu pas vraiment les gens, ainsi portés en groupes, en proie à leurs propres phénomènes. Et oh, comme je te ferons en sorte de bien nous en sourire,Nous les gardons. Le tien te va si bien. Tantôt, je me retourne quelque peu, te regardant avec amour et fascination, tant que je le peux. Ludmila,Tu es... A quoi qu'il arrive, ne l'oublies pas...Je ne te laisserai pas aux autres. Qu'ils te touchent, et je ne sais pas si je pourrai retenir mes élans de ? N'y pensons pas ! Nous n'avons rien à la charmante blonde guida son ex-patronne jusqu'aux vestiaires, non loin de là. Les vestiaires ? Ah, oui, pour les sacs, et peut-être même son foulard. Dominura, a vrai dire, trop prise par l'instant et l'idée de la soirée, avait passé le détail de ce genre de détours. Mais quelle ne fut pas sa suprise, lorsque, dans l'innatendu, elle fut saisie par la main, puis retournée dos au mur, Ludmila fondant sur elle afin de lui voler un délicieux de sourcils, Roseur venant aux joues, les yeux brillants, Dominura laissa ses lèvres s'entrouvrir alors que sa belle se surprise, ?Ludmila... !! <3Leur contact fut bien vite brisé, Ludmila ôtant son sac ainsi que sa veste, suivie par Dominura qui en fit de même, avec son foulard. Hop, hop, un instant de plus, et sa conjointe se retournait à nouveau vers elle, cette fois quelque peu plus serieuse, moins fourbe mais pas de mauvaise humeur pour autant. Evite de te laisser trop ?La grande femme eut un instant de silence, alors que ses yeux verts restaient en contact avec ceux de son interlocutrice. Evidemment, qu'elle ne se laisserait pas trop approcher. De toutes façons, elle ne connaissait personne, et ne désirait pas se faire d'amis proches, ni plus, avec qui que ce soit dans cette soirée. Tout ce qu'elle voulait, c'était accompagner Ludmila, voir un peu cet environnement encore inconnu pour bien des choses, et cela en était sa conjointe, elle, risquait bien de plus s'amuser, et également de se rapprocher de plus de monde, n'est-ce pas ? Elle avait ses collègues, et les autres invités. A quoi l'Illustratrice devait-elle s'attendre ?En ce soir, elle avait bien décidé de quelque ne se prendrait pas la puis. S'il se passait quoi que ce soit de négatif ; Elle serait là pour le saisir, n'est-ce pas ?Dans tous les sans amusement, simplement calme, regard pénétrant." toi ; Ne t'égare pas, petit chat"Passage du dos de la main sur la joue, alors que la brillance flamme de ses yeux happait les pupilles de Ludmila. Cela ira. J'ai confiance en toi. J'ai confiance en suis jalouse, tout autant que toi. Possessive, ne te laisserai à ensemble,Rejoignons les commérages et les visages déformés de la foule,Peut-être n'auront-ils que faire de nous,Peut-être n'auront-ils que d'yeux pour clac, clac,Bruits de allons-nous ?Passe donc la porte, qui connais. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 2133 Ne les laisse pas t’ les laisse pas même te regarder, mon ne te rends pas compte … Oui ?Ludmila n’avait pas omis le fait que sa conjointe ne connaissait personne, en cette soirée. Tout comme elle n’omettait pas le fait que, contrairement à Ludmila à Londres, il était fort possible que quelques enseignants ici présents puissent quand à eux connaître l’illustratrice, sa renommée montant peu à peu à New-York. D’autant plus qu’il y aurait sans doute quelques professeurs d’art, s’intéressant probablement à l’illustration. Cette reconnaissance, sans doute, pouvait mettre la jeune psychologue quelque peu mal à l’aise, tandis que les regards et les ragots ne s’attarderont qu’un peu plus encore sur la femme qu’elle jalousie la concernant, bien le talent de Dominura soit reconnu était seul problème était sans doute que, plus encore qu’aux vernissages et autres soirées plus mondaines que celle-ci, l’argent et la popularité de l’illustratrice pouvait faire tourner des têtes. Sans compter sur sa beauté, son charisme. Fascinante jeune femme. <3Ludmila avait eu le temps d’y songer, et ce la faisant même hésiter un instant, quand à inviter sa conjointe à l’accompagner. Mais le désir de l’avoir auprès d’elle l’avait néanmoins emporté sur sa possessivité, tout comme le fait qu’elle ne pouvait tout de même pas vouloir garder Dominura enfermée, sous prétexte de risquer leur relation – ce qui était purement absurde. Et puis … En effet, ces derniers temps, la jolie blonde n’avait pas manqué de remarquer le travail intensif que fournissait sa conjointe, craignant sans l’avouer de la voir s’y enfermer davantage, ainsi coupée du monde. Et si Ludmila ne doutait pas que cela avait été bien souvent le cas par le passé, elle ne souhaitait tout de même pas laisser l’artiste dans son monde, s’éloignant peu à peu d’elle, quoi qu’on en dise. Tu travailles mais toi, petit chat … Ne sors-tu pas trop, le soir ?Ne travailles-tu pas trop, à ton tour, le jour ?Tu es venues pour elle, mais les heures passées ensembles se font plus rares qu’à Londres, quoi que non moins intenses, la plupart du temps. Oh, sans doute faut-il simplement en parler, réaménager les heures de liberté, faire un effort, chacune de son côté. Evidemment. »Léger sourire, de la part de la jeune Russe, qui sentie ses joues rosir légèrement aux suivantes paroles de sa conjointe. Ne pas s’égarer ? Oh, non, bien sûr que non. La seule façon dont elle pouvait s’égarer était sans doute de par son désir pour Dominura, la prenant déjà au ventre, tandis que ses lèvres brûlaient d’envie de l’embrasser à nouveau. Une dernière fois. Avant de ne plus le la main de sa belle passer sur sa joue, dans un geste précipité alors qu’elle réalisait la difficulté à ne plus pouvoir toucher Dominura durant toute cette soirée, Ludmila laissa remonter vivement sa main vers sa propre joue, passant ses doigts contre ceux de son aimée, rapidement, afin de les serrer quelque peu, amoureusement. Et dans un mouvement impulsif et spontané, la jolie blonde laissa son corps frapper doucement celui de sa compagne, ses lèvres venant une nouvelle fois happer le siennes, en un dernier baiser, brûlant d’un désir qu’elle aurait du mal à MhmhH … < Ludmila recula, lançant un regard malicieux et brûlant d’amour à sa belle avant de finalement ouvrir la porte, la laissant ainsi passer derrière elle, s’avançant à nouveau dans le hall et croisant là une femme qui s’apprêtait à entrer au vestiaire, accompagnée de son salut tout à fait formel de la part de ce couple, auquel Ludmila répondit poliment, avant de se tourner à nouveau vers son amante, lui adressant un sourire plus calme, prête à présent à entrer dans la salle deux jeunes femmes entrèrent donc dans la grande salle, plutôt simple, décorée simplement par quelques plantes qui devaient bien déjà se trouver là auparavant. Des tables, sur lesquelles se trouvaient le buffet, le punch. Une plus petite salle, en renfoncement, semblait être munie d’une piste de danses, de lumières plus tamisées. Rien de bien extraordinaire, à vrai dire. Mais l’ambiance était là Les peu de personnes présentes semblaient enthousiastes, parlant de vive voix, riant de bon bientôt, sans qu’elle ne la voit elle-même arriver, une femme – grande, blonde, les yeux bruns et un air surexcité – vint lui sauter dessus, la prenant dans ses bras et l’étreignant, visiblement poussée par l’euphorie de la soirée - Te voilàààààààààààà ! Regarde, Regarde IL est làààààà !Un signe de tête en direction d’un jeune homme, laissa échapper un léger rire, prise par surprise par cette collègue qui était un jour venue se confier à elle, avouant son profond et obsessionnel amour pour ce scientifique solitaire et réservé, toujours habillée de ses lunettes et de sa blouse blanche. Sauf pour cette soirée, évidemment. Oh et bien … Vas lui parler ?Haussant les sourcils, amusée par cette femme – sans doute pas bien plus vieille qu’elle – qui réagissait encore comme une adolescente, face à un homme qu’elle pensait être l’amour de sa femme se figea tout à coup, semblant réfléchir aux paroles de sa comme si l’idée lui semblait absolument merveilleuse, elle serra à nouveau Ludmila dans ses bras, surexcitée, tout en la remerciant et lui laissant entendre à quel point elle était de merveilleux voilà tournant vers Dominura, Ludmila garda les sourcils légèrement haussés, étouffant un léger rire à la fois moqueur et amusé par le simple fait qu’il puisse exister de telles personnes. Cette femme, qu’elle ne connaissait à peine, et qui était – à son souvenir – professeur de méthodologie, avait donc fait l’accueil de Dominura et son ex-assistantes, toute d’eux ayant un aperçut de cette heureusement, tout le monde n’était pas ainsi, n’est-ce pas ?ClacClacClacUne femme s’ pas toi,Qu’elle regarde ? Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 2207 Eh oui. Cette soirée ne serait pas facile, pour les deux jeunes femmes Elles ne pourraient pas se toucher comme elles en auraient envie, ni même trop s'approcher, se frôler... A part si, peut-être, elles partaient danser. Mais Dominura étant piètre danseuse, elle n'avait plus bien l'espoir de pouvoir retrouver un contact pronomcé avec son amour avant la fin de ce séjour dans l' de un, de deux, et la grande femme se retrouva une fois de plus sous les lèvres de sa conjointe, y succombant à nouveau, sans même y apporter une quelconque résistance, bien au contraire, laissant sa langue caresser la sienne, avec dernier baiser de la soirée ? < garce, qui ainsi me provoque, avant de repartir, là, vers la porte ! Je sais que nous devons y sortant, les deux jeunes femmes croisèrent un couple, qui se rendait alors tout innocemment vers les vestiaires. Sans s'en rendre compte, sans doutes portée par le petit stress dans son ventre et le début d'euphorie à l'idée d'être ici en compagnie de sa conjointe, l'Illustratrice laissa échapper un petit rire, pour elle même, un peu plus loin, songeant avec un amusement enfantin à ce qui aurait pu se passer si jamais les deux les avaient prises en flagrant cela était vallait en rire, non ? Petit grain d'optimisme plutôt rare chez la grande femme, qui s'élançait à présent gracieusement à la suite de la belle russe, si désirable, si belle... Tellement... A elle ?Hum. N'y pensons pas !Une fois entrées dans la salle, Dominura jeta un coup d'oeil intrigué mais enthousiaste autour d'elle. Un brin d'experience et Ludmila pouvait remarquer qu'il était certainement là une façade nerveuse, comme en conférence, avant que l'artiste ne puisse réellement se sentir bien et s'amuser un tantinet. En attendant, elle demeurait comme interessée, alors que ses yeux portaient tantôt sur sa compagne que sur les autres invités, plutôt joyeux bien, bien. Une ambiance bonenfant, des visages plutôt chaleureux... Mais evidemment, un trouble certain au passage de cette femme en vert, plutôt excentrique, lorsque l'on y regardait bien, dans sa couleur alors qu'une furie fondit sur Ludmila, faisant sursauter l'Illustratrice, qui demeurait quelque peu dans ses pensées. Un coup d'oeil, petit haussement de sourcils, et Dominura assista à la scène purement... adolescentienne de cette jeune professeur qui semblait littéralement bader sur un des invités présents. Toujours était-il que cette grande blonde enlaçait, réenlaçait Ludmila, quelque peu hors d'elle apparemment, emportée par les feux de la passion, sous le regard façadique de la trentenaire, qui souriait surtout pour la fond, elle ne nota pas sa jalousie à voir le professeur sauter sur son amour, mais plutôt l'attitude tout à fait incorrecte de la jeune femme Si elle était entrée en contact avec Ludmila, ce qui ne necessitait pas fooooorcément le fait de la saluer autrement que par cette étreinte déplacée, elle n'avait pas jeté ni un mot ni un regard à Dominura, qui, pour le coup, se sentait presque comme une clac, et l'impolie repartit, laissant Dominura droite comme un piquet, là, simplement, aux côtés de Ludmila, presqu'invisible, alors que de la collègue de son amante elle n'avait vu que le profil ; Et importait, au fond,Si cette jeune femme n'avait pas daigné souhaiter le bonsoir ou simplement passer le salut. Dominura n'était pas là pour apprendre par coeur chaque tête de l'université, et, de plus, n'eut pas vraiment le temps de se formaliser de cette petite entrevue, une autre femme ne tardant pas à s'approcher d'elle. Regard à Ludmila, haussement de sourcils et sourire pour répondre à son message expressionnel lorsque la furie avait quitté leur champ d'action, puis l'Illustratrice porta une correcte attention, sans plus ni moins, à celle qui l'abordait alors, lui tendant carrément un verre de punch, sur lequel la grande femme lorgna un instant....Instant de moment d'absence, et Dominura releva le regard vers le visage de la femme, toujours le verre en main, visiblement en attente à ce que la dessinatrice le lui mon respect, madame...Ceci est... Un gobelet ?"GHéhéh"Petit rire nerveux, qui ne put rester à l'interieur de Dominura, tandis que celle-ci esquissait un sourire bien trop large pour être tout à fait joyeux Ne me dites pas que vous voulez que je prenne votre verre en plastique ?Materiel de camping. On ne peut pas prendre du punch dans du materiel de camping, n'est-ce pas ?Ce fut avec un immense effort que Dominura ne tourna pas la tête vers Ludmila pour lui jeter un regard d'SOS, presque à lui demander ce qu'elle devait faire si quelqu'un lui balançait un morceau de PVC en forme de verre devant les yeux. Finalement, essayant de tordre sa bouche en un sourire plus naturel et reconnaissant, elle finit par dire, simplement"Merci beaucoup"La femme qu'elle avait en face d'elle, relativement classe, lui sourit à son tour, et se présenta ensuite comme professeur de sémiographie à l'université voisine. Dominura, feignant le radical interêt, hocha la tête, avant que son interlocutrice ne lui demande, finalement presque d'emblée"Dominura Romley, n'est-ce pas ? Je vous ai tout de suiiiiiiiiite reconnue. Mais que venez-vous faire iciiii ?"Un coup d'oeil à côté, et la femme croisa le regard de Ludmila, semblant s'arrêter un instant sur face, Dominura, plutôt mal à l'aise dans ce milieu, priant, pour l'amour du ciel que Ludmila lui vienne en aide sur ce plan là, qu'elle la fasse fuir ou autre chose, plongea -non sans grâce- ses lèvres et son attention dans son punch,Qui avait, Selon elle et son esprit tordu de manières,Un goût pronomcéDe gobelet en plastique. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 2252 A vrai dire, ceci étant dû à un don d’empathie ou à une simple intuition, Ludmila ressentait bien la nervosité croissante de sa compagne. Sans même la regarder directement, sans même entendre le son de sa voix. Et plus encore lorsque c’était le cas, bien évidemment. Cet air intéressé, observateur. Ces sourires que la jolie blonde pouvait différencier des plus sincères, son rire. Et cette posture des plus droites ? Dominura n’avait pourtant pas à s’en faire Toutes deux n’étaient là que pour la forme, n’est-ce pas ? Ludmila ne cherchait pas à se faire des amis, et ça n’était pas plus le cas de Dominura, qui n’était là que pour l’accompagner. Evidemment, puisque certaines personnes ne manqueraient sans doute pas de la reconnaitre, il était toujours important de faire bonne figure, de ne pas être prise en flagrant délit d’amour regard nous geste.…La furie était en effet partie, mais bien vite, une autre femme vint se joindre à elles, ne leur laissant pas une seconde afin de simplement rire de cette irruption rapide et exagérer. Cette femme, qui par ailleurs ne semblait avoir d’yeux que pour Dominura, s’avança vers cette dernière, lui tendant un verre – en plastique, donc – rempli de punch. En plastique ? Et oui. Pas de verres en verre, mon Ange. Pourquoi ? Parce que des verres en plastique étaient bien plus pratiques pour le rangement. Et sans doute revenait-il moins cher d’acheter ces verres jetables plutôt que de payer le personnel nécessaire pour faire la vaisselle. Son regard passant du verre à Dominura, non sans remarquer la lenteur de la réaction de son amante, Ludmila ne mit guère de temps à comprendre la situation de cette dernière, manquant sur le coup littéralement pouffer de rire, face à cette déstabilisation évidente – pour elle, en tout cas. Rire nerveux, de la part de l’illustratrice, indiscutablement peu habituée à voire dans ce genre de verres. Presque fascinée par cette réaction – au fond – très amusante, ne voulant tout de même pas vexer sa conjointe, Ludmila ne laissa paraître de son amusement qu’un simple sourire, destinée à sa conjointe, qu’elle ne pouvait s’empêcher de dévorer des yeux. Fort heureusement, cela pouvait bien passer pour un simple attachement amical, très complice. Mais rapidement, Ludmila se rendant compte de cela, elle détourna bien vite son regard vers cette femme qui venait d’offrir à boire à sa conjointe, celle-là même qui était finalement parvenue à prendre son verre et à remercier son réellement faire quoi que se soit de plus, Ludmila écouta d’une oreille la présentation de cette jeune femme, une partie de son esprit restant bloqué sur l’incontestable bug de Dominura face à ce verre en plastique. Si elle n’avait pas la moindre intention de passer sa soirée à chercher ce genre de réactions de la part de sa belle, Ludmila ne pouvait nier que la voir confronter à des circonstances différentes de son habitude était plutôt divertissant. ce professeur de Sémiologie en vint à avouer rapidement qu’elle avait reconnu Dominura, lui demandant ce qu’elle venait faire ici, Ludmila reporta son entière attention sur cette femme, haussant légèrement les sourcils – sans plus un sourire – lorsque cette dernière daigna enfin poser un regard sur elle. à côté d’une artiste de renom telle que Dominura, n’était pas vraiment intéressante, ni digne qu’on lui offre un gobelet de punch, n’est-ce pas ? Cette pensée – sans réelle rancœur – manqua faire à nouveau s’écrouler de rire la jolie blonde. Parvenant à garder relativement un contrôle sur elle-même, seul un sourire entre nervosité et amusement retenu vint se dessiner sur ses lèvres, tandis qu’elle se présentait à son tour, faisant ainsi ouvertement remarquer son manque de prévenance à cette femme, qui jusque là ne lui avait rien demandé - Ludmila Ivanov, professeur de Psychologie ?Pas regard à Dominura qui – n’aidant guère Ludmila à retenir un éventuel fou-rire – buvait finalement dans son verre. Voulait-elle que la jeune Russe réponde à sa place ? Oh … Sans doute Ludmila n’aurait jamais fait une chose pareil, si sa conjointe n’avait pas montré malgré elle un tel malaise quand à la adressant un sourire plus calme et plus doux à la jeune femme – et ce même si Dominura ne pouvait sans doute même pas le remarquer – la jolie blonde se tourna à nouveau vers l’autre femme, gardant un léger sourire tout en laissant entendre, le plus simplement du monde - Dominura est avec moi. Rien de de cela ainsi n’était-il pas risqué ?Oui. Et Ludmila, sans doute, l’avait fait une pseudo-relation amicale avec Dominura sera d’autant plus laissait ainsi la possibilité à sa conjointe de continuer, laissant bien entendre ce qu’elle désirait sur leur relation afin de protéger elle-même, et à sa façon, la réputation qu’elle souhaitait pour l’instant donc que nous nous sommes rencontrés à lui dis rien ?Laissons-les parler, Trésor.… Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 2327 La grande femme, les lèvres dans son punch, n'assista pas réellement à l'échange entre sa nouvelle interlocutrice et son aimée. Tout de même, elle put entendre la présentation de Ludmila, très simple, puis son aveu direct qu'elles étaient est avec cette phrase peut dire bien des choses. Je pourrais être avec toi pour t'accompagner, simplement, ou bien en couple... Magnifique, Ludmila. Les deux sont compris dans ta phrase. Nous ne mentons pas, mettons même sur une piste... A elle de deviner ? Ou non ? Comme elle voudra. Je n'ajouterai rien, je ne peux rien ajouter. Rabaissant son verre, retrouvant un sourire plus confiant alors que le professeur de Sémiologie repportait son regard sur elle, visiblement interrogative, la trentenaire répondit, le gobelet en main, une mine joyeuse et assurée"Effectivement, nous sommes venues ensemble."Et, rien à rajouter, tu le lis dans mon regard. Je n'ai pas à dire pourquoi je suis là. Je n'ai pas à me justifier d'être en présence de Ludmila, professeur de psychologie dans cet établissement. Je n'ai pas à me justifier de quoi que ce soit ; Et votre présence m'indispose, madame. Je n'aurai sans doutes pas bon plaisir à vous parler ce soir, alors... sauf mon respect, je vous souhaite une bonne soirée et m'en vais vers d'autres visages, qui n'auront pas eu l'attitude d'oublier ma charmante si ta collègue m'a oubliée,Celle-ci ne t'as pas fait honneur non que quelqu'un ici sera assez bien disposé pour nous saluer ensemble, et nous proposer à parts égales, sans mettre en avant votre lien, sans mettre en avant mon statut d'Illustratrice ? Ah, j'en doute ! Mais peut-être bien, qui sait. Je ne dois pas avoir de préjugés, ou je m'en condamnerai d'avance ! Gardons nos sourires, petit chat. Nous nous rendrons en d'autre compagnie."Je vous prie de m'excuser, mais je ne souhaite pas ce soir parler de mon travail."Petit flash interieur Cette soirée est sencée être conviviale. Sourire amusé et enjoué, clin d'oeil entre malice et hypocrisie, accompagnant quelques mots"Ce soir, ce sont mes vacances !"Puis, accordant un dernier sourire rayonnant au professeur, la grande femme, gobelet à la main, rejoignit Ludmila, plutôt enjouée, laissant entendre d'une voix légère, comme d'une grande complicité"Et tu n'as toujours pas de Gobelet Ludmila ? Viens, on va bien te trouver quelque chose à boire par là !"Puis elle entraina sa conjointe sous des traits enjoués et amicaux, laissant la femme et sa fausse classe derrière, là, seule, son propre verre en plastique à la main, un tantinet prise au dépourvu, mais tout de même intriguée par cette femme qui était passée en moins de deux secondes à une complicité mysterieuse, une châleur humaine que l'on ne lui connaissait que peu, et dont elle restait interdite, entre l'émerveillement et le choc ; Dominura Romley venait de l'envoyer adorablement sur les roses, avec un grand sourire et un clin d'oeil. Alors ne la ce temps, ladite Illustratrice avait guidé la belle russe jusqu'au buffet-bar, où résidaient quelques jeunes gens, assez bien sur eux, quoique sans doutes sans la même richesse des invités aux reçeptions des vernissages de la grande femme. A part ce détail peu important, ils semblaient châleureux et ouverts, prêts à la conversation mais également avides de questions. Ne les connaissant pas le moins du monde, la grande femme se contenta de quelques sourires, quelques bonsoirs et deux-trois coup d'oeil, un petit rire placé sous une remarque jugée comme presque amusante, et son rayonnement faisait déjà l'effet de l'explosion de tchenobyl. Oh, elle ne faisait pas pour autant de l'ombre à Ludmila, bien au contraire. Les deux semblaient tellement bien se compléter qu'un des professeurs, d'histoire d'après ce qu'il en avait dit, avait même lâché, entre deux gorgées de punch, quelque chose du genre"Quel bel assortiement vous faites, toutes les deux ! Vraiment, un charmant duo que voilà." ne cessa de sourire pendant un moment, laissant passer son regard sur son aimée dès qu'elle ne pouvait sans que cela ne soit trop exagéré ou trop débordant d'amour et d'attirance, mais quelque chose d'inhabituel attira bien vite son attention. A la suite d'un joli "Merde !" bien pronomcé, un des vingtenaires du groupe d'à côté, un homme qui pourtant aurait pu avoir un minimum de prestance, laissa tomber son toast de saumon bon marché à d'oeil de la grande femme -nouvel arrêt de reflexion- dont l'esprit ne suivait plus vraiment le cours de la conversation de son propre groupe du moment. Mon dieu...Ne le laisse pas par terre, ramasse-le vite, au lieu de rire à gorge déployée avec tes collègues...Olàlà... Nooon... Mais regarde-moi ça c'est infect...Et...Aaaaaaahhhh non mais... Mais... Mais qu'est-ce que tu faiiiiiiiiis ?!Ne le porte pas à ta bouuuuche, le saumon a touché par teeeeeerre ! Mon dieu... Nooon, nooon !!Ce n'est pas correct, ce n'est pas... Aaaaaaaargh !!"Dominura ?""Ah !!"La grande femme sursauta, en ce retour à son groupe quelque peu surprennant, tant elle fut prise dans ses pensées, quelque peu choquée par ce qu'elle venait de voir. En un instant, elle avait perdu son regard équarquillé, ses lèvres entrouvertes et son bug mental, pour en revenir à... A quoi déjà ? Ouf Rien d'important. L'on l'avait juste ramené sur terre après l'avoir vu s' !Quel monde verres de camping en plastique moulé, du saumon fumé au goût de parterre, enrobé de rires tonitruants et de rigolades d' à Ludmila, sourire amusé, Dominura s'empêcha de lâcher un rire, l'étouffant avec grâce, monde est bien étrange, petit peut-être est-ce moi, qui suis bien loin du réel ?Et j'en ris,Ris de moi, ris de tout,De la situation,Car c'est ne suis pas à ma place.<3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mer 7 Oct - 034 Oui, nous sommes venues Dominura n’ajoutait rien ? Tournant son charmant et pâle visage vers sa conjointe, lui adressant toujours un léger et calme sourire, Ludmila ne pu que remarquer le désir de cette dernière à se débarrasser au plus vite de cette femme qui, au final, ne s’était pas bien montré plus polie que la précédente. Quoi que, celle-ci avait au moins eut la décence de se présenter à Dominura, ce qui, au fond, était le plus important pour Ludmila, qui n’avait aucune envie que sa précieuse conjointe ne se sente mise à l’écart. Et elle ? Oh, peu importe. Elle pouvait bien aller chercher elle-même un verre de punch, pas vrai ?Dominura enchaina ensuite sur le fait qu’elle ne souhaitait pas parler de son travail lors de cette parvenant pas à la quitter des yeux, sentant même ses lèvres venir se pincer d’elle-même tant elle se mettait inconsciemment en transe face à cette femme qui la fascinait tant, Ludmila manqua à nouveau exploser de rire au sourire trop enjoué et au clin d’œil de sa belle, lorsque cette dernière ajouta que cette soirée était ses vacances. Oh, ces mots n’avaient rien de drôle en eux-mêmes, certes. Mais cette façon qu’elle avait eu de les prononcer était tout à fait remarquable. Tu es j’aime éperdument cette folie. <3 Et tu n'as toujours pas de Gobelet Ludmila ? Viens, on va bien te trouver quelque chose à boire par là ! » !!!Ne pouvant cette fois-ci pas retenir un léger rire, lançant un dernier regard à cette femme qui était visiblement prise au dépourvue - abandonnée par une artiste qu’elle admirait visiblement mais qui ne voulait pas lui parler - Ludmila mordilla légèrement sa lèvre inférieure, suivant son amante jusqu’au buffet afin de prendre un verre à son tour. Les gobelets ne la choquaient pas, évidemment. Quoi qu’elle n’était pas vraiment non plus habituée à ce genre de soirées, notons-le. A l’hôpital, les fêtes étaient bien rares. Et les soirées qu’elle passait se déroulaient plutôt dans des bars, remplis de monde, d’alcool et autre ici semblait bien moins la seule présence de Dominura suffisait à amuser la belle blonde, à contrer un ennui qui aurait été inévitable en l’absence de l’illustratrice. Finalement, la jeune Russe se servit elle-même d’un verre de punch, buvant une gorgée avant de se mêler à son tour à la foule, Dominura étant déjà en conversation avec un invité près du buffet. Ne tardant pas à être elle-même interrogée, Ludmila se présenta, salua plusieurs personnes, retrouva quelques collègues, gardant sourire et bonne humeur, une attention discrète restant toujours attribué à leur complicité était remarquable, et sans doute adorable, de l’ homme sans doute ne savait pas à quel point il était sur la bonne voix en laissant entendre que ces deux femmes formaient un charmant duo. Remarquent-ils, mon Ange, que nous sommes bien plus que de simples amies ?Non. Personne ne remarquait, bien suspecter ces femmes qui semblaient illuminer la pièce, de leurs tenues, ou tout simplement de leur présence charismatique et naturellement charmante ? En plus d’être incontestablement très belle N’avaient-elles pas de la conversation ? Oh, oui. Et le petit groupe qui semblait se former autours d’elle semblait fort intéressé par chacune de ces deux femmes, l’une prenant parfois l’ascendant sur l’autre, lorsqu’il s’agissait de l’attention sourire sourire temps passait, lentement mais surement, intégrant presque malgré elles Dominura et son ex-assistantes, prisent dans des conversations plus ou moins intéressantes. Bientôt, alors que Ludmila s’adressait à une jeune femme, marié à un professeur d’histoire de l’art, la jeune femme, tout en jetant un furtif regard à sa conjointe – par hasard – se figea un instant, se retrouvant une seconde interdite face à son interlocutrice, avant de se retourner plus clairement vers Dominura. Dominura, qui, à ce moment même, avait les yeux rivés sur un homme, ramassant un toast par terre et le portant à sa regard et ses lèvres entrouvertes traduisaient clairement – pour Ludmila en tout cas – l’horreur qu’elle pouvait avoir à voir quelqu’un faire une chose pareille. Evidemment … Ca n’était pas très hygiénique. Mais de la à en être arrêtée de la sorte, complètement interloquée ? Dominura ? »Voyant sa belle sursauter à l’appel de cet homme charmant qui les avait précédemment complimentées, Ludmila délaissa quelque peu son interlocutrice, ne pouvant cette fois-ci pas s’empêcher de laisser échapper quelques rires amusés, toutefois retenus, son regard attentif et presque ému de tant d’innocence venant caresser le visage de sa conjointe. Innocence ? Sans doute. Ludmila se demandait, au fond, si Dominura se rendait compte que manger un toast tombé à terre n’était pas si incroyable ? Après tout, ne disait-on pas qu’il ne fallait pas gâcher la nourriture ? Le sol étant relativement propre, ce garçon n’avait sans doute pas eu idée de choquer qui que ce soit, en avalant ce qui l’avait précédemment sans doute l’épisode des gobelets n’était pas encore Ludmila riait encore, intérieurement, des réactions que pouvait avoir la femme qu’elle aimait face à ces comportements qu’elle n’avait pas l’habitude de lançant un regard complice à sa belle, Ludmila laissa par la suite échapper un léger soupir, finissant rapidement son verre de punch avant de se retourner vers le buffet, prenant au passage le gobelet de Dominura - Tu en veux encore ?Léger sourire en coin, entre complicité et la provocation en attendant une réponse de sa conjointe, Ludmila ne tarda pas à remplir son propre verre, se servant dans la grande bassine rempli de l’alcool mélangé aux jus de fruits, qui était là en son attention étant un instant distraite par la musique et les rires venant de la pièce ouverte non loin d’elles, la jeune Russe resta un instant en pause, puis se retourna vers Dominura - Tu aimes ... danser ?Léger haussement de sourcils interrogatif, dévoilant peut-être aussi ses intentions, alors que Ludmila se rendait soudainement compte qu’elle ne pouvait absolument pas répondre seule à cette doute parce que chaque soirée passée en compagnie de Dominura ne leur en laissait pas le temps ?Peut-être, aussi, parce que danser ensemble leur faisait prendre le risque de ne pas résister à l’envie de se toucher ? Evidemment, les slows n’étaient pas recommandés, pour rester incognitos, n’est-ce pas ? Sauf peut-être si elles donnaient l’air de danser simplement pour s’amuser, comme le font parfois des amies esseulées ?Dis, tu aimes danser ?Veux-tu … danser ?Sourire en toi. <3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mer 7 Oct - 058 Evidemment, la grande femme ne se formalisa pas des rires entendus du côté de Ludmila. Un instant, elle crut qu'il s'agissait là d'un rire placé dans une conversation. Puis, finalement, elle se rendit compte qu'il était pour elle, et s'en empara à son tour, laissant le sien passer par dessus ses lèvres maquillées, tandis qu'elle venait de se rendre compte de l'absence qu'elle avait eu. Regard complice, et, de une, de deux, elles se retrouvèrent à nouveau non-loin du buffet, à se resservir de punch, Ludmila demandant à son ex-patronne si elle en voulait, tout en remplissant son propre verre toujours, la grande femme répondit, d'un ton enjoué"Oui, merci !" <3Tout en jetant un oeil autour d'elle pendant que son aimée lui servait sa boisson. Il n'y avait pas à dire, cette ambiance était entre connue et inconnue, quelque chose d'assez spécial pour la grande femme, qui avait l'impression de voir de grands enfants plutôt que des adultes, un peu plus jeunes qu'elle, de son âge, et plus vieux également. Tous semblaient assez euphoriques pour s'ôter une vingtaine d'années chacun, et, de son côté, l'Illustratrice se demanda un instant si elle ne devait pas elle aussi jouer la carte de la châleur, du rire et de la complicité pour paraitre plus de ce monde-là, pour cette tes de côté tes principes ?Cela ne doit pas être si compliqué, son attention sur sa belle, la grande femme prit son verre de punch, puis, sans encore le porter à ses lèvres, laissa son sourire s'élargir, alors que ses sourcils se haussaient, à la vision qu'elle avait là Ludmila semblait se laisser emporter un instant par la musique provenant de la pièce d'à côté. Oh, oui, il y a du rythme et de l'harmonie à la fois, quelques éclats de voix ou quelques periodes calmes... Mais sais-tu que cela n'est pas non plus mon univers ? Oh, encore moins que celui-ci, à vrai moi, les vieilles musiques et les classiques sont de mises, lorsque je ne garde pas mon éternel silence. Les instrumentales sont préférées aux ensembles techniques et aux chansons de paroliers, et ce n'est qu'avec une extrême rareté que je me laisse emporter par les sons puis. Je ne sais pas danser, tu le sais ?Redoutant, derrière son sourire, le fait que Ludmila énonce le verbe aussi simple que "danser", la grande femme ne put que se sentir défaillir un instant en entendant la question de la jolie russe Est-ce qu'elle aimait danser ? Euuuh... Eh bien... Le haussement de sourcils interrogatif, le regard de Ludmila, ne pouvaient que faire fondre la dessinatrice, qui ne pouvait cependant pas céder à la tentation de se retrouver dans ses bras ! Non, elle n'irait pas danser. De toutes façons, elle n'aimait pas ça. Elle...Non... Pas ce sourire en coin...Pas cette brillance dans tes yeux sombres...Ludmila...Tapotant du bout des ongles sur le bord de son verre, la grande femme, rosissant quelque peu, finit par balbutier, perdant de son assurance légendaire devant une demande aussi spéciale que celle de danser N'importe qui aurait trouvé cela tout à fait normal, mais voyez-vous, Dominura n'était absolument pas dans ce genre d'habitudes"J-Je... Non, pas exactement..."Pas "exactement" ? Tu t'embrouilles, Dominura. Ne voulais-tu pas plutôt dire, au fond... comme tu le fais en détournant ton regard vers le buffet, y faisant mine d'interêt pour quelques toasts au saumon... "De toutes façons je ne sais pas danser."Et pourtant, au fond... belle voudrais-tu pas lui dire'Entraine-moi ?' ... A quel point sait-elle... Que tu n'irais pas si elle ne t'y entraine pas, mais que tu seras ravie de sa compagnie, une fois qu'elle t'y aura menée ?Pinçant les lèvres, ne pouvant cependant pas baisser l'amusement exaspéré inscrit dans ses sourcils qui soulignaient à la fois la -non réelle- peur enfantine de se voir trainée par son aimée dans la pièce d'à côté, la grande femme jeta un oeil en coin à Ludmila, comme pour lui faire comprendre qu'elle vérifiait si elle n'avait pas, par miracle, abandonné son idée... Adorable sais bien qu'elle ne te laissera pas fuir ainsi !Et puis. Que risques-tu, a part être plus proche d'elle ?Seulement de ne pas pouvoir prendre un de ces toutes façons, C'étaient ceux au rien ne ditQu'ils n'étaient pas eux aussiPassés voir si le sol n'était pas plus confortable que les plats Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mer 7 Oct - 1153 Sans doute la musique attirait-elle en effet la jeune psychologue. Etait-ce si évident que cela ? Oh, peut-être n’y aurait-elle pas prêté tant d’attention, si cette piste de danse ne semblait pas tant l’appeler, lui soufflant officieusement qu’elle était là la seule occasion pour Dominura et elle de se rapprocher quelque peu. Et puis … Il était bien clair que la jeune Russe adorait danser, y étant à vrai dire plutôt habitué, depuis déjà plusieurs années. Que faire d’autre, en soirée ? C’était là le meilleur moyen de se défouler, tout en mettant de côté des conversations pouvant être inintéressantes à ses danser, mon Amour ?Posée ainsi, cette question ne semblait guère laisser de choix à la belle illustratrice. En effet, si cette dernière répondait positivement Tant mieux, mais si elle répondait négativement ? Alors, Ludmila n’en serait que plus insistante, laissant sa malice l’emporter sur le fait que – peut-être – sa conjointe n’avait pas la moindre envie de danser. Mhm. Non. Ludmila saurait certainement différencier un refus catégorique d’un simple refus formel, pas vrai ? Sur ce, son regard brillant de malice scrutant la moindre réaction de son amante, un léger sourire en coin, semblant prête à fondre sur la belle française en cas de refus, Ludmila ne pu s’empêcher de laisser son sourire s’élargir, passant ses dents sur sa lèvre inférieure avec une malicieuse provocation, lorsqu’elle remarqua finalement le rosissement des joues de sa conjointe. Serais-tu mal-à-l’aise, Trésor ?Léger pincement de lèvres, tandis que Ludmila laissait naturellement son sourire s’adoucir face aux premiers mots de la belle française. Pas exactement ? Oh. Cela veut-il dire que tu n’aimes pas vraiment cela, ou que tu ne penses simplement pas y arriver ? Adorable Dominura. <3 De toute façon, je ne sais pas danser. »Ne quittant pas une seconde son amante des yeux, ne pouvant pas s’empêcher de la regarder avec amour et attendrissement, alors que cette déstabilisation flagrante lui semblait purement adorable, Ludmila laissa échapper un léger rire, se rapprochant très légèrement de sa belle lorsque cette dernière s’empressa de détourner son regard du côté du buffet. Ne répondant pour l’instant d’aucune manière aux réponses de sa conjointe, ne gardant que ce regard et ces sourires entendus, la jolie blonde continua un instant à observer Dominura, non sans lui cacher tout de même qu’elle n’était pas prête à la laisser fuir. Et ce, d’autant plus parce que l’attitude de la jeune femme lui laissait penser que – malgré ces quelques paroles – l’illustratrice se laisserait sans doute entraîner, si jamais son ex-assistante venait à insister quelque en je te je n’ai pas changé d’ finalement se rompre le silence, un léger rire spontané et amusé s’échappant d’entre ses lèvres rouge cerise, la jeune Russe prononça quelques mots, visiblement surexcitée à l’idée d’emmener son aimée sur la piste de danse, loin des lumières vives et plus proche encore d’un monde où ne régnaient apparemment que rires et amusement. La musique était plutôt d’actualité, pas forcément bonne, pas forcément mauvaise. Tout dépendait des instants, comme toujours, n’est-ce pas ?Peu importait la Tu sais que tu ne t’en tireras pas comme ça n’est-ce pas ?Léger rire, tandis que Ludmila haussait légèrement les sourcils, taquine, portant sensuellement son verre jusqu’à ses lèvres, mordillant doucement son bord du bout de ses dents, comme elle aurait bien pu le faire des lèvres délicieuses de sa compagne. Evidemment, personne, hormis Dominura, ne pouvait voir cette petite provocation, avant que la jeune Russe ne penche davantage son verre, buvant d’une traite tout le punch qui s’y bien ! Reposant son gobelet vide sur la table du buffet, Ludmila – toujours prise dans un élan euphorique – attrapa alors vivement la main libre de son amante, l’attirant sans prévenir en direction de l’arrière-salle d’où provenait la Je peux t’apprendre dans ce cas ! … Viens !Serrant quelque peu la main de sa belle, profitant de cette élan pour entrer en contact avec elle, la jeune Russe conduisit alors Dominura jusqu’à la piste de danse, reprenant par la même occasion un verre de punch qui avait été pré-rempli, sur une table à l’entrée de la petite salle. Encore ? petit sais que si cet alcool passe tout aussi bien qu’un simple jus de fruit, il ne faut pas en négliger les effets !Evidemment, Ludmila n’y songeait guère, sentant son élément l’emporter quelque peu sur elle, l’euphorie d’avoir en plus Dominura avec elle n’aidant pas. Habituée à enchaîner les verres, la jeune Russe ne pensait pour l’instant pas vraiment aller trop loin, son esprit étant bien ?Tu sais danser, j’en suis n’as seulement besoin que d’un sens du je sais pertinemment que le tiens est très chantes juste, bien. <3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mer 7 Oct - 2008 La grande femme, à partir de cet instant, décida de se laisser entrainer par la soirée, plus qu'elle ne l'avait tout d'abord voulu en arrivant en ces lieux. Après tout, que risquait-elle à accepter une danse, un verre, un instant, un contact avec sa belle ? Oh, elle n'aimait pas bien boire, mais un peu de punch ne lui ferait pas beaucoup de mal, n'est-ce pas ? Il fallait seulement qu'elle fasse attention, que personne ne la force à boire comme ses éditeurs l'avaient fait, ne tenant pas vraiment à l'alcool, ne l'ayant pas non plus de très heureux, et, surtout, Bernard n'étant pas là pour la sauver en cas de suis bien infidèle à notre amitié Toi, qui t'inquiètais tellement pour moi. Je ne t'ai pas tellement rappellé, n'est-ce pas ? Il le faudrait, pourtant. Je le voudrais, evidemment. Mais comment faire ? Je n'y pense pas en temps voulu, ou ne dispose pas des moyens pour le faire quand je le dois...Bientôt, bientôt. Tu auras des nouvelles de ta petite protégée, et de son attendant, je ne descendrai plus tant de deux ? Cela suffit. Gardons nous pour plus ainsi qu'après quelques échanges plus ou moins convaincants, la grande femme céda aux avances de sa belle, se laissant entrainer à sa suite, tandis que cette dernière attrappait un nouveau gobelet au passage. Oh, tu n'es pas bien raisonnable, petit chat. Et tu le sais, n'est-ce pas ? A moins que je ne te fasse tourner la tête plus que l'alcool, à t'en faire oublier le degré dans ton verre ?Soyons donc sages, ou tu finiras par m'attrapper par la taille, et les émois seront bien autour, comme des rapaces avides de nouveautés. Les commérages iraient bon train, quoi que ton alcool puisse servir de fausse justification. Mais non ! Je n'en veux pas. Je ne veux pas que l'on cache cette relation comme un geste passé sous l'alcool ! Et je ne veux pas non plus... Entendre dire que ma compagne est une fille facile, se laissant tomber dans les bras de n'importe qui après quelques m'es...Toujours fidèle, n'est-ce pas mon amour ?Parfois, j'ai le doute n'a plus de place, ou ne devrait pas en avoir J'ai confiance. Terriblement mon dieu, je t'en prie, rassure-moi d'un mot ou d'un regard ? M'assurer que tu penses à moi... Encore, toujours...Malgré tout ce monde que tu vois,Ces amis que tu revois ?...Je ne m'en tirerai pas comme cela, oui. Je sais bien que mes excuses n'allaient pas pour le mieux. Alors ? Alors je me laisse entrainer, par ta main, par tes pas, tes mouvements, alors que tu m'apprendra sans doutes. Du rythme ? Je l'entends sans l'entendre, trop occupée à me soucier des propres battements de coeur, qui bat à présent la chamade, ma main encore dans la tienne, avant que tu ne nous lâche dans cette ambiance plus sombre mais aussi plus colorée, un professeur s'étant donné la tâche de jouer avec les lumières à ampoules teintées, avec profité un instant de notre cela n'était rien, n'est-ce pas ?La musique devient entrainante, quelques personnes viennent également autour de nous, emportés par leur propre euphorie, peut-être même par l'alcool... Viens, que j'accroche ton verre, que j'accroche ton regard, un sourire en coin sur les lèvres, à te regarder dans les yeux en te volant une gorgée de ton breuvage, quelque peu provocante, mais en accord avec la musique, avant de te rendre ton gobelet...Viens, viens plus proche !Voilà notre unique façon de nous toucher à peu... qu'importe les gens !Cette salle nous permettrait presque toutes les folies,Si l'on en garde une certaine retenue, une bonne réputation, un bon genre, tout en nous viens !Guide moi, je n'attends plus que ça. Et je m'égare en un sourire pour toi, Alors que quelqu'un, à ma vision, d'approche de toi par derrière... Laissant au fond de mes yeux une flamme mauvaise, sur le coup,Que tu auras peut-être remarquéeAvant qu'il ne te fasse te retourner à luiTe perdre à moi...Je l'en tuerais. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Jeu 8 Oct - 1501 La soirée avançait peut-être un peu plus rapidement que ce qu'avait pu imaginer Ludmila, cette dernière, accompagnée de Dominura, ayant tout de même réussi à s'intégrer quelques instants à un groupe de professeurs, avant de finalement les quitter pour se rendre sur la piste de mais aussi et surtout ravie d'avoir la possibilité de s'approcher davantage de la femme qu'elle aimait – en secret, vis-à-vis des autres invités – Ludmila attirait donc à présent sa conjointe jusqu'à un endroit plus sombre, mais aussi plus bruyant, la musique et des rires enjoués ne faisant que rendre l'ambiance d'autan plus … Aimes-tu vraiment ce genre d'ambiance ?Il me semble que non, peut-être simplement parce que tu n'y as jamais vraiment été confronté ?Essayons, Trésor. Et si la musique ne te plait pas, si la danse t'ennuie, nous reculerons.…Pour Ludmila, Bernard et tous leurs autres compatriotes de Londres étaient bien loin. Même Tyler n'avait que très peu de nouvelle de la part de la jeune Russe, cette dernière – comme depuis toujours – ne vivant qu'au jour le jour, en oubliant parfois ses au fond, elle savait qu'il serait plus convenable d'envoyer quelques messages à l'ancien éditeur de son aimée. Après tout, elle n'avait pu la rejoindre si rapidement que grâce à son aide, son incroyable talent à dénicher des logements à la fois confortables et à un prix raisonnable. Seule, Ludmila aurait sans doute mis bien plus de temps. Et qui sait … N'aurait-elle pas finis par craquer, retrouvant ses vieilles habitudes pour se soulager d'une frustration impatiente ?Je te suis quand ?Toujours, je l' je ne désir que ma jeunesse et cette immaturité que je cache peuvent me pousser à faire des que je regretterais, que, peut-être, tu ne me pardonnerais pensons pas, mon ne suis qu'à toi. Et si ces gens me regardent, me désirent … Je ne le leur rend pas. Seule mon attitude leur laisse croire, parfois. Mais au fond, je sais, ils savent, qu'ils n'auront rien. Je suis tienne et le resterai. Que l'on me brise si j'échoue. Je ne veux pas te blesser, jamais. Et si cela est déjà arrivé, j'ose espérer que cela n'arrivera … Gobelet ?Ludmila buvait beaucoup, trois verres, et ce dernier, bientôt, ce retrouva entre les doigts de la sublime en coin, regard entendu, qui ne purent que faire fondre à nouveau la jeune psychologue, cette dernière pinçant et mordillant très légèrement ses lèvres sur le coup, brûlant d'envie de se jeter sur sa belle et de l'embrasser, là, devant tous ces gens qui ne remarquaient rien à leur me provoques l'euphorie, l'alcool aidant, me laissera en effet te prendre par la taille,Rapprocher ton corps du miens,Et t'embrasser avec <3Frissons, à ses pensés, alors que Dominura rendait son verre à une Ludmila presque aveuglée par sa compagne, la dévorant des yeux tout en en oubliant la musique entrainante qui pourtant appelait à la danse. Musique entrainante, ou pas. Car bientôt, le rythme se fit plus calme, le DJ décidant sans doute de passer quelques slows, un petit moment, avant de reprendre de la vitesse par la la musique lente. Lente, mais toujours assez forte, faisant s'emmêler les bribes de conversations, ne plus entendre clairement ce qu'il se disait dans la son verre presque aussi vite qu'elle l'avait commencé, Ludmila ne tarda pas à le reposer sur la petite table, se redressant par la suite, son regard caressant amoureusement le visage de sa belle. Pourrions-nous seulement danser dans les bras l'une de l'autre, sans attiser une certaine curiosité ?Je ne sais … Que regardes-tu ainsi, de cet air mauvais ?Fronçant légèrement les sourcils d'une incompréhension légère mais soudaine, Ludmila se détourna alors un instant de son amante, laissant son buste seulement tourner afin de regarder derrière presque pas le temps de reconnaître ce nouvel interlocuteur qui s'approchait d'elle, la jeune femme fût alors prise de surprise, ce dernier l'attrapant d'une main par la taille, l'autre venant trouver sa main et la faire se soulever, les mettant ainsi en une position apte à la danse. Quelque peu troublé par cet élan soudain, tentant tout de même de repousser – en vain – ce jeune homme, Ludmila ne pu que laisser ce dernier lui faire entendre quelques mots, avant de se pencher légèrement sur le côté, lançant un sourire charmeur et entendu à la belle française, qui se trouvait toujours juste derrière la jeune Russe - Bonsoir, polie, insupportablement trop sûr de concentrant à présent sur Ludmila, il lui laissa alors entendre – tout comme à Dominura, qui était bien assez proche pour cela – un léger sourire en coin se dessinant sur ses lèvres, un air entendu dévoilant un probable souvenir en commun entre son interlocutrice et lui-même - Tu me dois une danse, Ludmila. <3Un lèvres s'entrouvrant légèrement alors qu'elle ne pouvait se retourner vers son amante, déjà entrainé par ce charmant jeune homme, archétype d'un séducteur – blond aux yeux bleus – la jeune Russe finit toutefois par laisser échapper un léger rire nerveux, ne se débattant tout de même plus pour autant, laissant à ses mots la possibilité à ce garçon de comprendre qu'elle n'avait pas la moindre envie de passer cette soirée en sa compagnie - Je ne me souviens pas t'avoir promis quoi que ce en es tu ne vaux rien. Oh, sans doute parles-tu de ces verres que tu as pu m'offrir, sans que je ne t'offre rien par la suite, ce soir où tu as réussi à me convaincre de sortir boire un verre avec toi, en toute amicalité » ? Idiot. Si tu crois que je ne n'avais pas deviné que ces boissons généreusement offertes n'étaient pas si généreuses, au fond, tu te trompes je ne te dois rien,Ne l'avais-tu pas dis toi-même ?- Sortons, ce soir. Je t' échapper un nouveau rire à la fois nerveux et amusé par tant de prétention, Ludmila enchaina, sentant la main de ce jeune homme descendre doucement mais surement sur sa hanche, puis glissant vers l'arrière, Non. Pour rien au ?Mhm. Peut-être un de réaction du jeune homme, qui retenait fermement Ludmila, cette dernière sachant pertinemment qu'elle aurait à se débattre si elle tentait quoi que ce soit pour se détacher de cet homme. Or, il était absolument hors de question d'attirer ainsi l'attention sur elle, préférant sans doute attendre la fin de cette chanson pour pouvoir ensuite enfin retrouver son amante, qu'elle pouvait voir parfois, entre deux pas, sans vraiment pouvoir lui transmettre un quelconque t'en fais plus toi. <3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Sam 10 Oct - 1902 Mmmmmhhh la provocation n'était-elle pas une arme à double tranchant, dans ce genre de conditions ? Oh, certainement que si, et Dominura ne l'ignorait pas, malgré le degré d'alcool qu'elle commençait à avoir dans le sang et ressentir en ses sens un tantinet troublés. Elle n'avait pas beaucoup bu, mais se sentait déjà un peu vague, entrainée par ses envies et ses positions... Entrainée par Ludmila, entrainée par ses désirs... Comme celui de la prendre contre elle, de rapprocher leurs corps, de lui voler un fougeux ou langoureux baiser il faut se tenir, n'est-ce pas, belle française ?Se tenir, et continuer ainsi, seulement, à suivre le rythme en regardant ses la regarder... Pour le ensuite ?Cela resterait à voir, selon l'ambiance, l' que les deux jeunes femmes demeuraient face à face, un jeune homme fit son apparition, dans le dos de la charmante blonde. Un coup d'oeil de Dominura, et cette dernière devina qu'il n'était pas là pour rien. Un dragueur, ou simple boulet ? Sans doutes les deux, et déjà le monstre faisait rage en elle, alors que son regard mauvais tardait à quitter le soit-disant beau visage du sinistre inconnu. Hop, de un, de deux, et Ludmila était retournée, dos à sa conjointe, qui, une fois de plus, n'eut qu'à se prendre ce 180° en pleine figure pour se retrouver potiche, là, au milieu de ce couple qui venait de se former tout contre elle et son soit-tu, toi, l'imbu de ta personne !Maudis soit-tu, d'avoir volé ma conjointe !Et que cela dure pour toi, que tu ne te retrouves pas sous mes mains ! Car alors je te corrigerai, je te bafferai de le regarder avec tant d'envie, de l'avoir prit d'une main la main, de l'autre la hanche, là, juste devant mes yeux. Ah ! Degoûtant animal, bête de cirque. Bonsoir, Madame ? Oh, je n'en ai que faire, de tes sales politesses d'enfant bien élevé servant à ce sourire immonde. Mais je te souris quand même, mais j'incline la tête avec distinction et te réponds simplement, d'une courtoisie sans égale"Bonsoir à vous, monsieur."... me le me le bien, Ludmila, petit chat, mon amour. N'aurais-tu pas des choses à redonner à cet inconnu dont je ne doutes pas que la soit disant beauté te tape dans l'oeil ? Ah, ah ! Petite cachotière, ou plutôt, petite garce. Moi qui ai tant confiance, ne pourrais-je pas avoir une soirée tranquille avec toi ?! Ah, ah ! Peut-être serait-ce trop demander que de ne pas vouloir entendre de tels sous entendus. Une danse ?! Et puis quoi, encore. Et moi qui te croyais vouloir me faire danser ! Voilà que cet horrible et inssuportable collègue te fais des sourires en coin. Des petits regards. Alors que je reste là, figée, un instant, inutile comme impossible, sur cette piste de danse qui ne me plait même pas, et que j'ai rejoint uniquement pour te faire plaisir et passer un moment en ta ne te débats pas, ne daignes même pas le repousser par la parole,Et de ris ?!Rierais-tu de moi ?Ou bien de lui ?Je ne sais plus. Je n'arrives même pas à entendre ta vraie, ou fausse, nervosité dans ce rire. L'alcool ne m'aide pas, et voilà que ma rage passe dans mes joues, ne rosissant pas pour autant. Et voilà qu'il t'invite. Pourquoi suis-je en train de rester là ? Peut-être, au fond de moi, me surprends-je à espérer que tu le repousses ouvertement ? Mais Ludmila semblait à présent plus amusée qu'autre chose, alors que la main de l'homme descendait plus bas que convenable, sur sa te toi, ta provocation va en son sens ! Tu ne le repousses pas mais le force à n'en puis plus !Et ne peux rien faire. Je suis là comme un poteau, incapable de dire quoi que ce soit. De toutes façons, amuse t'en si tu le veux !J'ignore si je ne regretterai pas de t'avoir suivie jusqu'à cette piste. Je n'aurai pas dansé. Et je n'aurai assisté qu'à cela. Quel bon programme ! Où sont donc ces bons moments dont je m'étais promis la lumière en venant ce soir ?Partons, Avant d'avoir plus mal encore,Et que tu finis ta danse, avec vois, entre deux pas, tes yeux, ton au troisième que tu me lança, j'avais déjà tourné les talons, et disparu dans la Bernard ira au diable ce soir, et paix à son âme ainsi que ses gobelet de plus ira dans ma gorge,Et son contenu me brûlera les qu'importe !Peut-être ce soir me retrouverais-je à t'accompagner, toi,De par derrière les murs,M'éloignant un instant d'euxEt pouvoir te savoirRien qu'à moi.<3MonPetit chat, tendre fleur,Si rayonnante ce soir,La plus belle parmis toutes. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Sam 10 Oct - 1958 Ne pas réagir – ou au contraire – aux insinuations de ce charmant jeune homme, faisait-il de Ludmila une mauvaise partenaire à l’égard de Dominura ? Sans doute, en effet. N’aurait-elle pas simplement pu le repousser, lui faisant gentiment comprendre qu’il n’aurait rien d’elle ? Cela aurait certes été bien plus correct que de laisser sa conjointe ainsi, seule, laissant sous ces yeux ce spectacle qu’elle ne voulait sans doute pas si peu la femme si peu innocente qu’elle était ne manquait pas de faire durer ce petit jeu entre ce jeune homme et elle, le laissant espérer, prendre un peu, avant de finalement s’en retourner à celle qu’elle aimait réellement. Et si Ludmila était consciente d’être tout à fait mauvaise à l’égard de l’homme, elle ne se rendait néanmoins pas réellement compte du mal qu’elle pouvait ainsi causer à sa belle. Non, elle ne jouait pas volontairement avec les nerfs de Dominura. Seulement … Une danse, était-ce si grave ?La musique était calme, temps semblait s’écouler en une extrême lenteur, alors que Ludmila se laissait entraîner par cet assez bon danseur, sans pour autant le laisser aller bien plus loin que cela. Très vite, alors que son regard continuait inlassablement à chercher celui de son aimée, la jeune Russe remarqua l’absence de cette dernière, qui s’était sans doute bien vite éloigné, tandis qu’elle avait le dos tourné, du fait des tournoiements qui s’emparaient d’ es-tu ?Instant de se montra tout à coup quelque peu résistante, son regard cherchant sa belle avec plus d’ avait sans doute fini par se lasser de cette scène, qui – aux yeux de la belle blonde – n’était pas spécialement douloureuse, mais possiblement pénible, du fait que la charmante française se retrouvait ainsi seule. Evidemment, Ludmila n’avait pas eu l’intention de tenir jusqu’à la fin de cette musique, espérant sans doute que son aimée vienne interrompre ce stupide manège. Mais peut-être, inconsciemment, se rendait-elle compte du fait que si elle-même avait été dans le cas de Dominura, sans doute aurait-elle fait une scène, ouvertement, rageuse de cette possessivité brûlante qui l’aurait suis à es … à Elle ?Alors pourquoi cette main est-elle si basse dans ton dos ?Pourquoi descend-elle encore, un peu plus, dépassant cette limite que tu t’étais naturellement fixée ?Pourquoi, là, sans que tu ne t’en rendes réellement compte, cet homme rapproche doucement son visage du tiens ?Brusque retour à la un sursaut non négligeable, Ludmila lâcha la main de son cavalier, reculant vivement, par la même occasion. Puis, lui lançant un regard noir mais restant correcte – ce dernier étant tout de même l’un de ses collègues – la jeune Russe laissa entendre, visiblement très sérieuse, cette fois-ci - Je … Euh … Non ! Je ne vous permets pas !Regard quelque peu surpris du jeune homme, qui ne s’était donc pas attendu à finalement, ce dernier n’insista pas, levant quelque peu les mains en guise d’excuses, faisant mine d’innocence. Bien. !Ludmila se retourna à nouveau vivement, regardant partout autours d’elle, alors qu’elle sentait son cœur s’emballer quelque peu. L’alcool commençait sans doute à la troubler quelque peu, lui montant déjà aux joues, qu’elle avait à présent de rosées. Adorable. Mais son regard se perdant dans la foule, ses talons claquant le sol de la piste, la jolie blonde sembla un instant perplexe, réalisant peu à peu cette sorte d’abandon involontaire mais inacceptable de sa quatrième verre fut attrapé au passage, bu rapidement – mais avec classe – puis montait, mais Ludmila n’y pensait pas, quelque peu inconsciente – décidemment – des conséquences que cela pourrait avoir par la suite. Loin du luxe des soirées où Dominura l’avait invité, loin des préjugés et de cette obligation qu’elle avait eu à se tenir convenablement pour ne pas salir la réputation de sa patronne, Ludmila pensait sans doute être à l’abris, profitant sans prévoir, égoïste, mais non moins amoureuse et angoissée par l’absence de la belle et et stupide ?Tu ne devrais pas tant penses à elle. Tu ne veux qu’ pourquoi ne lui montres-tu pas comme il se doit, plutôt que de laisser tes furtives caprices la faire s’éloigner ?- Domi …Le bout de ses doigts passant sur le bras de son aimée, à la limite de la manche de sa robe, Ludmila finit donc par retrouver cette dernière, la musique suivante faisant à peine son apparition, suivant celle qui avait provoquée la séparation de ces deux si belles peu hésitante, sans doute un peu nerveuse quand à la réaction de sa conjointe vis-à-vis de son absence, la jeune Russe se rapprocha un peu plus encore de son amante, tournant malicieusement face à elle tout en laissant ses doigts glisser sur sa peau nue, par la même occasion. Sourire en coin. Malice consciencieusement placée dans un regard brillant d’une certaine crainte de se voir rejetée - Danse avec moi. <3Prends-moi par la mes bras passeront autours de ton juste un peu,Et mon souffle viendra te murmurer quelques mots à l’ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Dim 11 Oct - 1347 Actions correctes ou incorrectes, Ludmila ne semblait s'en rendre compte qu'à moitié, en réalité, alors que Dominura avait déjà tourné les talons. Cette dernière, a présent plutôt en colère qu'attristée, la peine ayant plutôt laissé place à une certaine rancoeur plutôt justifiée, s'était donc bien pressée de rejoindre le côté du bar qui resservait un peu de punch dans les gobelets restants. En ni une ni deux, la belle française attrappa son verre et but d'une traite son contenu, se fichant à présent pas mal du fait de pouvoir se retrouver un moment incapable de rester chez elle. Oh, elle n'irait certainement pas à se saouler jusqu'à en vomir ou bien ne plus savoir ce qu'elle faisait, evidemment ! La grande femme avait bien trop de principes pour cela. Mais si un verre de plus pouvait l'aider à perdre sa colère froide qui lui tiraillait le coeur et le sang en cet instant même...Alors pourquoi un autre ?Soyons folles, de toutes façons la soirée ne promet pas d'être plus interessante que ce qu'elle venait de voir sur la piste de danse, à l'instant même. Tsss. Encore un peu et elle serait repartie chez elle, payant un taxi le prix qu'il fallait pour ôter de sa vue tous ces visages goguenards, trop enjoués ou bien trop charmeurs. Pourquoi avait-elle donc accepté de venir ici ? N'aurait-elle pas mieux fait de rester à son atelier, à travailler, regarder les aiguilles qui tournent en pensant à Ludmila plutôt que de la voir provoquer un jeune homme immonde devant ses yeux ?Grognement me le paieras, un jour, que l'on ne drague pas aussi ouvertement les jeunes femmes en couple ?Ah, ah !Tout le monde ignore que tu es en couple, petit tant mieux pour toi ? Tu peux t'amuser autant que tu le veux, ainsi. T'amuser à tenter, t'amuser à aguicher. Je voudrais voir à nouveau ton regard sur moi. Sentir tes pensées vers moi, tes attentions, tes envies. Mais as-tu seulement encore envie ?Le retour à la réalité de Ludmila échappa bien evidemment à la charmante française, déjà bien plus loin, mais point passée à autre chose. Oh, simplement, elle restait là avec son énnième gobelet, se redressant et retrouvant petit à petit un semblant de bonne humeur, qu'elle tentait d'afficher, au fond de ses yeux et de son sourire presqu'éteint. Il fallait rayonner. Rayonner, et ne faire que cela. De quoi aurait-elle l'air, si elle restait là, plantée comme la potiche qu'elle était depuis le début de la soirée, l'air sombre et la mine complètement abbatue ? Non. Pour ceux qui la reconnaitraient, et pour son honneur personnel, elle devait se tenir. Ainsi bien haute perchée sur ses talons, bien mise en valeur sans sa robe verte qui accrochait bien des regards, la grande femme descendit, un faux sourire aux lèvres -qui marchait cependant très bien sur les gens alentours, persuadés qu'elle s'amusait parmis eux- la moitié d'un nouveau verre. Et s'il lui semblait que l'alcool passait dans son sang, irriguait son cerveau, elle ne s'en formalisa pas, ne faisant même pas attention à ce que ses joues puissent en rosir que tu t'amuses, pas l'essentiel ?Après tout, ce n'est pas ma soirée, n'est-ce pas ?Je ne suis qu'une invitée, une simple invitée,Je ne connais personne et n'ai pas tant envie de les connaitres... Alors si tu t' tant mieux, n'est-ce pas ? Tant que tu t' tu veux passer un moment,Je serai là. C'est pour cela que tu m'as ammenée, n'est-ce pas ? Pour pouvoir m'avoir sous la main au cas où tu n'en aies plus rien à faire des autres. Mais bon, si tu t' t' l' tu sais que je serais dans un coin de la pièce, quelque tiens,Te peu perdue dans ses pensées floues, le regard quelque peu vague alors que son faux sourire restait accroché à ses lèvres pour simplement éviter que celles-ci ne tombent en une moue dépressive, la grande femme se retourna vers sa belle lorsque celle-ci finit par la rejoindre, peut-être lassée de l'homme avec qui elle avait dansé, ou quelque chose d'autre, peu c'est !Dominura ne fit pas plus attention aux doigts de Ludmila passant contre sa peau qu'à son hésitation à reprendre la parole devant elle. Seuls ses yeux, fixant toujours la magnifique blonde, semblaient dire, dans un état interieur de lassitude totale, presqu'effrayante Qu'est-ce que tu veux ? Puis, après un petit jeu qui ne sembla guère exciter la grande femme, actuellement persuadée que Ludmila aurait pu en faire de même avec n'importe qui dans cette salle sans ce soucier qu'il s'agisse de son aimée ou non, la jeune russe demanda, pleine de malice, peut-être d'envie Danse avec sais que je ne sais pas danser, petit puis. N'y a t-il pas tant d'autres personnes ici présentes qui tueraient pour échanger quelques pas avec toi ?Le gobelet à la main, ses yeux vert foncés rivés sur sa belle, la grande femme garda un instant le silence, ayant tout de même perdu son sourire d'affiche depuis quelques instants devrais-je répondre ? Gâcher cette opportunité en gardant toutes les pensées qui m'ont affligées depuis un bout de temps, ou bien faire semblant de ne pas en avoir été spécialement blessée, et accepter ton offre, en gardant l'espoir que tu aies plaisir à être avec moi ? Je n'ai pas envie de plus me déchirer. Et de toutes façons, tu ne remarqueras rien, n'est-ce pas ? Rien de mes pensées ou de mes craintes, tu as bu trop d'alcool. Serais-tu seulement capable d'analyser tes propres gestes, et les miens, qui m'ont forcée à partir ?...Viens par tout se passa bien vite. Dominura finit son gobelet d'une traite, et le posa -un peu plus violemment que prévu, il fallait l'avouer- sur la table-buffet non loin de là. Un instant, et elle était retournée vers son amour. Un autre, et sa main lui avait attrappée la taille, la tirant vers elle, alors que, de quelques pas, elle rejoignait plutôt la piste de danse, s'éloignant des personnes statiques demeurant proches des boissons et petits toasts. Un échange de regards, profond et intense,Une main sur la taille et l'autre frôlant le bras, D'une force qui voulait sans doutes direLudmilaSois à moi ;Rien qu'à t'ai sous mes mainsSous l'emprise de cette danse,Que tu ne dois qu'à te qu'à moi.<3Dernière édition par Dominura Romley le Dim 11 Oct - 2327, édité 1 fois Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Dim 11 Oct - 1553 Reconnaissant bien le sourire de façade de sa conjointe – et de ce fait quelque peu mal à l’aise, par sa propre faute évidemment – Ludmilla tenta tout de même de garder un comportement relativement naturel, ne souhaitant pas réellement aborder le sujet de cette danse qu’elle avait finalement acceptée en ne repoussant pas ce jeune homme. Avait-elle vraiment voulu refuser ? Qui sait. Ce qu’il y avait de sûr était que la jolie Russe n’avait pas eu plus envie de danser avec lui qu’avec qui que ce soit d’autre dans cette salle, hormis me regarde pas comme je sais, c’est ma peux-tu tout de même m’excuser cette absence, certes déplacée ?Je ne voulais pas gâcher ta soirée. Notre n’est pas trop tard, n’est-ce pas ?Tu n’as qu’à accepter, me faire confiance, sais que je ne suis qu’à sais que je n’ai envie que d’être avec toi, à regard restant entre malice et hésitation – due à une certaine culpabilité inconsciente – la jeune Russe ne cessait d’observer sa conjointe, craignant sans doute qu’elle ne lui refuse cette demande. Si c’était le cas, bien sûr, cela voudrait dire que la belle française lui en voulait, n’est-ce pas ? Oh, cela pouvait tout aussi bien être le cas en cas d’acceptation. Mais au moins Ludmilla pourrait – peut-être – lui prouver qu’elle ne souhaitait être qu’en sa compagnie ? Je te veux. sourire de Dominura s’effaçant, Ludmilla senti son ventre se nouer quelque peu, son regard passant alors furtivement sur le verre que son ancienne patronne avait en main. Avait-elle bu d’autres verres, elle aussi ? Pourtant, il semblait à la belle blonde que son amante ne tenait guère l’alcool. Et elle ? Un peu plus. Mais à combien de verres était-elle, déjà ? Ces derniers avaient fait qu’il lui était à présent impossible de répondre à cette pourtant si simple question. Sa tête semblait flotter, la chaleur lui montant aux joues et faisant s’éveiller tous ses sens, tout en rendant ses mouvements plus flous, mais aussi dangereusement plus Dominura termina rapidement son verre, le buvant d’une traite avant de le poser quelque peu violemment sur la table. Geste qui ne manqua évidemment pas d’angoisser quelque peu la belle Russe, cette dernière pinçant furtivement ses lèvres entre elles, la laissant perplexe une en colère ?En une seconde, la jeune psychologue fût attirée sur la piste de danse à nouveau, la main de Dominura venant cette fois-ci la prendre à la taille et les rapprocher toutes deux en un élan possessif qui ne lui échappa quand sembla un instant couper le souffle à Ludmilla, dont le ventre avait reçu comme un courrant douloureux de honte en songeant à la peine qu’elle avait pu faire à son aimée en ne se débattant pas tout à l’ de ne souriait plus, son sérieux prenant le dessus sur la malice, un instant, alors qu’elle se sentait tout à coup gênée par la situation. Gêné, mais non moins amoureuse et parfaitement sûre de l’amour même de son amante. Assez rapidement – quoi qu’après un petit temps d’absence de la part de la jolie blonde – cette dernière laissa ses bras passer doucement autours du cou de sa conjointe, prenant une position déjà bien plus proche que celle qu’elle avait pu tenir avec son précédent cavalier, volontairement. N’osant pour l’instant pas passer ses mains sur la nuque de son aimée - sentant néanmoins quelques-uns de ses cheveux venir les frôler – Ludmilla les croisa simplement entre elles, ses bras restant relativement tendus pour l’ me rapprocher de toi. Un peu plus. Mais le puis-je seulement ?Je ne voudrai pas te mettre un peu plus encore en colère, mon si quelqu’un remarquait ces rapprochements ? Et si tu n’en voulais simplement pas ?…Son regard se détournant une seconde, passant furtivement sur le côté – au hasard, par fuite – Ludmilla finit tout de même par reposer son attention sur sa conjointe, laissant ses yeux sombres venir caresser son visage, tandis qu’elle la guidait sur quelques pas d’une musique plutôt lente, ne faisant que rendre l’ambiance quelque peu plus gênante encore pour la belle guider ?Ou non, car finalement, Dominura savait peut-être mieux danser qu’elle le plus qu’elles ne faisaient là rien de bien de … Bouffée de chaleur ?Sans s’y attendre, Ludmilla sentie ses joues rosir davantage, prise d’une pulsion terrible Son corps avait frémit, transmettant sans doute ce frisson à sa belle, prit d’un élan de désir presque sauvage, qu’elle ne pu néanmoins que contenir, laissant simplement ses lèvres s’entrouvrir quelque peu, son regard venant suivre celles de son aimée avec terrible, physique, mais aussi nourrit par une fascination psychique de Ludmilla pour la belle française. Attirance qui n’était certainement pas diminué par l’alcool, qui laissait à présent la jolie blonde quelque peu plus fragile face à ce genres de veuxTe serrer dans mes brasT’embrasserMe frotter contre <3…Mais n’osait pas plus faire tout cela que de simplement laisser leurs corps se rapprocher ne serait-ce qu’un peu plus. Ou voulait-elle simplement laisser le choix à Dominura ? Cette dernière devait bien le sentir Ludmilla brûlait d’un désir féroce à son égard, et pourtant, restait quelque peu distante, soucieuse de ne pas blesser davantage celle qu’elle aimait en la mettant dans une situation délicate vis-à-vis de ceux qui pouvaient éventuellement la reconnaître et contacter la t’avoir ne te laisserai te le ne veux que toi, ne suis bienQu’avec toi.<3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Dim 11 Oct - 1633 La colère ne serait plus raisonnable. Le sais-tu, petit chat ? La blessure est passée derrière les verres et surtout derrière mon sourire et mes pensées. La colère en a finalement fait de même, alors que j'aborde à présent un élan de lassitude au fond des yeux. Lassitude d'avoir dû faire face à cela, agrémenté de quelques regrets, peut-être, à être venue, a avoir fait tous ces la grande femme, quoi que nous en disions, n'avait plus ces sentiments mauvais dans les yeux ou dans le coeur, alors qu'elle avait prit Ludmila par la taille et entrainé cette dernière sur la piste, un peu plus loin du buffet et des regards des personnes statiques. Au contraire, elle tentait bien de laisser voir, derrière le voile et le flou, tout son amour et son attention pour la charmante russe, qui, finalement, s'était laissée entrainer dans ses bras, sous ses mains, sous ses doigts. Oh, Ludmila. Sais-tu que si je ne peux présentement pas sourire, je n'en suis pas moins heureuse d'être revenue en ta compagnie ?Certes, mon cerveau, tout comme mon corps, a bien encore du mal à tout synchroniser, comme si je restais encore à t'en vouloir. Mais je ressens bien ces élans nouveaux, soudains, qui te reprennent en ton ensemble, là, passant en moi, m'offrant à la vue et aux sensations... Tes envies, tes désirs... Envie de moi ?Frissons, qui passent en mon corps, suite au bien vu, oui, ce détournement de regard, un instant. Serais-tu gênée ? Une fraction de secondes, j'ai cru que tu cherchais cet homme du regard, comme tu m'as cherchée, vaguement, lorsque tu étais dans ses bras, ne m'offrant qu'un regard pour quelques pas. Mais, non. Te mettrais-je mal à l'aise, petite fleur ? Epanouissons-nous, le veux-tu ? Il me faut ce temps. Ce temps avec encore quelques te plait...Et laisse-toi je ne sais pas je ne sais pas danser. Alors... Qu'est-ce qui guide mes pas, si ce n'est pas toi ? Peut-être mes sentiments, mes élans et émotions, comme un désir fourbe et enfoui de te faire voir... Que je ne vaut pas moins que celui qui a pu te prendre sous ses doigts, il n'y a pas tant de temps. La jeune femme qu'était Ludmila venait de passer ses bras autour du cou de son ainée, qui, un instant, laissa ses lèvres s'entrouvrir, sous le mouvement qu'avait engagé sa conjointe, et qui, au fond, ne manqua pas de lui réchauffer le coeur. Petit chat, petit chat. Réponds-tu ainsi à mon appel ? Oh, laisse-toi partir. Ne me regardes pas ainsi !Echanges de regard profond, intense, brillant, fait part de Dominura alors qu'elle pinçait ses lèvres, juste une te veux, frissons se sont répartis en ma personne - Et comment résister ?Comme une envie soudaine de me rapprocher... Encore. Puis un peu t'embrasser, devant tout ce monde, leur montrer que nous sommes ensemble, leur prouver mon amour pour toi, hurler ma posséssivité, et profiter, encore et encore, de ces instants, avec toi. Pour toi. Pour nous ! Viens, viens, encore un peu plus proche ! Ah, que j'aimerais ne pas avoir à me cacher d'eux. Et l'alcool ne nous aiderait-il pas à nous afficher ? Mon dieu... Nous ne devons pas...Ludmila...Je t'en supplie. Joue ton jeu. Repousse !Impossible. Cela était impossible, n'est-ce pas ? Heureusement, autour d'elle, des collègues, d'une relation amicale, dansaient, elles aussi, ensemble. Mais cela était-ce suffisant pour préserver Dominura et sa conjointe ? Peut-être, peut-être pas. En tous cas, elles ne semblaient pas forcément attirer l'attention. Tant pis, tant mieux ? Tant mieux. Au joues rosissent, les miennes les suivent, alors qu'un frémissement passe dans les bras qui conduisent mes mains à tes hanches. Et les miennes les suivent, alors que mes lèvres tremblent un instant, avant de se refermer, fourbes d'envie. Et les miennes les suivent, alors qu'une bouffée de châleur me prends à mon tour, comme communicant avec celle qui a fait rage dans ton coeur et dans ta choix sont faits,Je ne veux que toi, tu le sais, n'est-ce pas ?Ne nous laisse pas nous séparer une fois de plusRapprochons nous,D'un pas,Puis deux...Mais leur danse fut interrompue par le soit disant charmant jeune homme, qui arriva, une fois de plus, par derrière. Cette fois-ci prennant moins de pincettes, il posa la main sur l'épaule de Ludmila, et, en un geste puissant mais gracieux, l'entraina à se retourner, cette dernière ne pouvant que perdre, une fois de plus, tout contact avec une Dominura retournée sur terre et à sa temps, puis deux, et l'homme n'eut que le temps se coller, de tout son corps, contre la charmante russe, avant que Dominura ne se rue vers lui. Un instant, elle les sépara d'un coup de main. Un autre, et la claque partit, retentissant dans la salle heureusement couverte de la musique. L'homme tituba, frappé d'une vive énergie par la belle française, qui avait hurlé, au même moment"MAIS POUR QUI VOUS PRENNEZ VOUS ?!"Finalement, rapportant sa main à elle, elle trembla un instant, ses yeux sombres fixant le jeune homme, pleins de rage, puis elle tourna les talons et quitta la pièce, afin d"éviter de faire monter le scandale, alors que ses nerfs ne tenaient plus en place, terriblement boulversés par les évènements, la portant à criser sur la mauvaise éducation de cet homme, ainsi que l'horreur de le voir ainsi ressurgir pour lui voler sa belle ainsi que ses instantsClac ClacClacClacEt la grande femme se rua vers les vestiaires, s'enfermant à l'interieur, simplement de par la porte, celle-ci ne disposant pas de quoi !Rageux cette fois, Ludmila, petit n'était pas de ta tu sais bien que cet acte n'était pas contre toi ; vois, ma colère !Et ma haine de l'avoir vu te détacher de moi pour se coller contre ta peau, ton corps, tout entier !Je n'ai pu me petit chat... fois de plusN'ais-je pas tout gâché ?Alors que Je ne voulaisQu'une simple moins... Une ?Contrairement à ce que je t'avais fait entendre...Je ne sais pas édition par Dominura Romley le Dim 11 Oct - 2327, édité 1 fois Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Dim 11 Oct - 1956 Sans doute la lassitude de Dominura vis-à-vis de cet évènement était-elle tout autant perçue par Ludmilla que sa précédente colère. Etait-ce une intuition ou une simple suite logique, bien connue de cette jeune et talentueuse psychologue ? Après tout, il était évident que la belle française se sente quelque peu blasée, après un tel abandon – quoi que non volontaire – de sa conjointe, à une fête où elle-même l’avait pu m’ pu t’empêcher de ressentir j’ai choisi de laisser mon orgueil l’emporter, m’amusant d’une attirance à sens unique avec cet homme qui, au fond, m’indiffère. Peut-être Ludmilla cherchait-elle, inconsciemment, à provoquer la jalousie de son amante ? N’est-ce pas, après tout, une nouvelle preuve de son amour ? Une manière quelque peu déplacée de se faire désirer davantage ?Qui sait. Ludmilla n’était pas toujours des plus tendres, au fond. Son instinct, fuyant toute attache, finissait toujours pas ressurgir, bien que ses sentiments envers Dominura étaient tout à fait sincères et les secondes qui suivirent ne tardèrent pas à rassurer Ludmilla Bien que les sourires se faisaient absents, la façon dont se regardaient ces deux femmes prouvaient bien un réel attachement, une attirance, un désir – frémissements – prêt à exploser. N’était-ce d’ailleurs pas flagrant, vu de l’extérieur ? Peut-être, si quelqu’un prenait soin de les regarder avec un peu plus d’attention qu’en un simple et furtif regard. Or, et heureusement pour elles, ça n’était pas le ne nous regardent ?Oh non, ça n’était pas bien raisonnable. Pas plus que lorsque la belle illustratrice laissa doucement glisser ses mains sur les hanches de son amante, n’est-ce pas ? Léger pincement de lèvres, à nouveau, de la part de la jeune Russe, qui quand à elle ne changeait pas de position, sentant toutefois son corps réagir à cette descente des mains de l’artiste. Ne laisses donc pas tes lèvres s’entrouvrirent ainsi, appelant les brûle, meurs, de ne pas pouvoir t’approcher davantage. Oh, je le pourrai !Mais serait-ce seulement prudent ? Mon corps, plus proche du toi, et dont l’alcool commence à engourdir les membres, les songes, ne me laissera pas rester raisonnable. Puis tu m’en voudras, de te pousser à prendre un risque non négligeable pour ta carrière. La mienne ? Elle ne risque rien Personne ne me jugera, si ce n’est quelques jaloux, quelques homophobes, hélas encore existants à notre quelle importance ? Je me fiche de leur je suis fière d’être là, avec suis tellement fière,De toi. <3…Instants magiques, malgré la le désir était palpable, presque visible, dans les yeux de l’une comme de l’ d’être plus pour Ludmilla, de montrer à tous ceux qui regardaient Dominura avec envie, qu’elle n’était qu’à définitivement, à bien vite, quelque chose vint faire disparaître cette magie, subitement, faisant se retourner Ludmilla sans qu’elle ne s’y attende, laissant un cri de surprise s’échapper d’entre ses jolies lèvres … Quoi ?!En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, la charmante Russe se retrouva à nouveau dans les bras de celui qu’elle avait pourtant quitté de manière claire – d’après elle. Détachée ainsi de Dominura, Ludmilla tenta en vain de se retourner vers elle, mais fût – au lieu de ça – plus proche encore de l’homme, les corps venant à se percuter plutôt brusquement, faisant froncer les sourcils de la jeune femme avec mais ça va pas ?!Mais une fois de plus, Dominura fût plus rapide qu’elle En moins de deux secondes, la belle française sépara le nouveau couple formé, puis gifla l’intrus, tout en lui criant dessus. Reculant d’un pas, quelque peu choquée par cette scène à la fois rapide et semblant pourtant voir défilé au ralenti, Ludmilla laissa son regard suivre sa conjointe, ses lèvres s’entrouvrant quelque peu face à cette réaction, qui pourtant ne l’étonnait pas tant, venant de sa part. Réaction impulsive, exagérée ? Oh non, sans doute pas. Ce jeune homme l’avait bien mérité, au fond. De quel droit se permettait-il de séparer ainsi deux personnes dansant ensemble ? Peut-être pensait-il qu’une danse entre femmes n’était là que pour combler une absence de cavalier masculin ? Idiot. Il n’avait pas le droit de faire de pareilles choses. D’autant plus après que Ludmilla l’ai elle-même clairement rejeté, n’est-ce pas ?Froncement de sourcils, regard noir à l’égard de ce professeur impoli, lorsque Dominura tourna les talons et disparu du champ de vision de sa conjointe - Ne nous approchez froid et sans plus une once de malice fois-ci, Ludmilla ne voulait plus jouer Cet homme venait de blesser une fois de plus celle qu’elle aimait, ainsi qu’elle-même, sans doute, à la traiter ainsi, comme si son corps lui ne t’appartiens à son tour, la jeune Russe tourna les talons, passant pas le buffet pour prendre un Nième verre de punch, déjà rempli, sur l’une des tables. Celui-ci aussi, fut bu d’une traite, comme la plupart des Ludmilla savait que cela n’était pas raisonnable. Mais il lui semblait – sur le moment – que l’alcool l’aiderait à rétablir les choses, lui faire oublier un instant qu’elles avaient – Dominura et elle – à se cacher du regard et du jugement des autres. L’alcool, pour oublier. L’alcool, pour faire semblant, ou prendre plus de risques encore ?Risquer de ne plus tenir debout. Risquer de passer pour une ivrogne face à ses collègues ? Non. Ludmilla savait se tenir, et connaissait ses limites, malgré tout. Et si elle pouvait atteindre un niveau d’euphorie presque absurde pour toute personne sobre, elle gardait tout de même un minimum de classe, ayant le réflexe de s’isoler au cas où ses limites étaient attention, petit chat !Dominura est là, ce soir. Tu ne pourras pas te cacher d’ elle verra dans quel état tu peux être, pitoyable, si jamais tu dépasses cette fameuse non, ce ne sera pas le cas …N’est-ce pas ?…ClacClacClacSes talons claquaient à son tour, alors que la jeune Russe sortait de la piste de danse, suivit des regards curieux qui avaient pu assister à la scène. Une fois dans la grande salle, la scrutant avec attention, Ludmilla remarqua bien vite l’absence de son amour, déduisant donc qu’elle avait dû soit se rendre aux vestiaires, soit sortir complètement. Elle vérifierait donc les vestiaires, en premier Dominura ?La porte des vestiaire, auparavant fermée, s’ouvrit donc sur la jeune psychologue, toujours quelque peu troublée et colérique après cette intrusion insupportable dans son regard se posant immédiatement sur sa conjointe, ne pouvant que se rendre compte de sa colère, de sa haine, Ludmilla laissa échapper un léger soupir, refermant la porte derrière elle, puis s’approchant doucement de son un sais, je suis qu’il soit de ne pas avoir été assez claire avec de te faire subir l’attirance que j’inspire aux te dégoûtent, n’est-ce pas ?Je ne voulais pas en arriver ma tête ma démarche se fait plus tremble, un joues rosies ne le sont que davantage, à présent que je me rapproche de toi. EncoreUn peuPlus.<3Quelques pas, et Ludmilla força Dominura à reculer quelque peu, la faisant s’adosser au mur, tandis que son corps venait rencontrer le sien, ses mains se posant avec infini douceur sur ses très sérieuse, malgré un état se dégradant petit à petit, la jeune Russe laissa alors son regard accrocher celui de la jeune illustratrice, Il ne reviendra ne reviendra qu’il ne reviendra pas, après la violente gifle qu’il venait de recevoir !A cette pensée, et après quelques secondes de sérieux, contre toute attente … Ludmilla sentie une vague d’euphorie la submerger, ne pouvant retenir tout d’abord un sourire amusé, qui dériva bien vite en un rire cristallin tout à fait adorable, rire, spontanée, tandis que Ludmila se rendait soudainement compte de son bonheur, de l’aspect tout de même comique de cette situation qui, d’un certain point de vue, ne l’était pourtant – continuant à rire ainsi, ses yeux brillant d’une malice nouvelle à l’égard de son aimée – Ludmilla rapprocha son visage sur sien, déposant quelques baisers sur ses lèvres, tendres et sentis, mais sans jouer d’autre chose que de ses les mains de Ludmilla glissaient des joues de la belle brune à son cou, avant qu’elle ne se recule quelque peu, adressant un large sourire à sa conjointe - Je t’aime tellement … ! extériorisée avec l’aide de l’alcool, Ludmilla rayonnait, à nouveau. Sa colère semblait avoir été balayé, faisant retomber la lourde ambiance de ces derniers instants. Je ris ?Je que je suis avec personne ne pourra nous ne suis qu’à tu es tellementMienne.<3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Dim 11 Oct - 2324 Clac, clac, clac, clac. Je reconnais ces pas, ces bruits de talons. Je reconnais cette arrivée, sans détours, cette démarche, que j'aime tant. Est-ce bien toi, Ludmila, qui arrive, prête à me retrouver, alors que, peut-être, t'ais-je fait subir quelque honte, au loin sur la piste de danse ? Oh oui, viens. Je t'en prie, viens à moi. Et que l'on se retrouve, le temps d'un instant, et que tu me dises, que tu ne m'en veux pas, et que tu me fasses comprendre, qu'au fond, tu désirais être avec dans l'attente de quelque chose ?C'est mal. Oui, c'est mal. Mal, car je risque la blessure. Mal, car je risque subir une certaine déçeption. Une tristesse ? De ne pas pouvoir te toucher, là, te parler, tendrement ou plus amoureusement, d'une violence poussée par le chat, oh, petit encore une fois glisser mes doigts contre ta peau, mes yeux dans les tiens, nos attentions mêlées les unes aux autres... T'ais-je manquée, un instant ? Même si tu étais d'une certainement bonne compagnie ? T'ais-je manquée, un moment ? Alors que j'étais absente, physiquement... Etais-je toujours là, au fond de tes pensées, prête à prendre le dessus sur le reste ?Toi, tu m'as manquée. Toi, que je désire voir plus que tout en cet instant. Je ne veux pas plus d'excuses que de repproches. Je sais qu'il n'en est de rien ta faute. N'aurais-je pas pu prendre tout cela autrement ? Non, j'en suis navrée. Alors... Ne dis part peut-êtreQue tu m'aimes ; que tu ne veux pas me perdre ?Que tu m' la porte s'ouvrit. Effectivement, derrière cette dernière, il s'agissait bel et bien de la charmante Ludmila, là, toute en beauté quoique troublée par les évènements tout autant que ses propres sentiments. Cette vision, étrangement, ne manqua pas de décrocher un léger sourire à la grande femme, qui sentait son coeur l'emporter sur la raison, prise d'une bouffée de châleur oh, Ludmila...Dieu merci, tu es là ! Et tu oses encore pronomcer mon nom sans haine ni rage !Alors je me calme, alors je suis à toi, encore une moi ! Je ne sais plus que penser. Et sans doutes n'est-ce pas l'alcool qui parcours mon sang qui me permettrait de mieux appréhender ce qui se passe autour de moi. N'ais-je pas été violente ? Il l'a bien mérité. Mais mes sentiments ne se sont-ils pas décuplés ? J'ai bien peur de ne pas avoir pu cacher ce que je ressentais, prise dans le feu de l'action, abandonnée de mes principes m'interdisant de me laisser plus mal ?Tu m'as belle enfant, je sais que tu es désolée. Je te regarde, de mes yeux sombres mais brillant d'amour, d'attente ? Approche-toi, encore un peu plus. <3Et nos joues rougissent, tandis que mon regard ne capte pas tes tremblements, trop occupé à te dévorer, toute / Un peu / donc ! Je n'ai jamais attendu que pas, et Dominura se retrouva adossée contre le mur, quelque peu entrainée par Ludmila qui s'était alors rapprochée. Les corps se rencontrèrent bientôt, là, dans une euphorie de contact. L'Illustratrice frissonna, alors qu'elle empêchait tant bien que mal ses mains de rejoindre la peau de Ludmila, dans l'instant. Vite, vite ! Ne me fais attendre de rien. Oh, je m'égare ! Nous ne sommes pas ici pour prendre notre temps. Mais... Que fais-tu donc, petite fleur ? Ce n'est pas yeux vrillant un instant vers ceux de sa belle, la grande femme ne tarda pas à y trouver un point d'accroche, alors que Ludmila semblait soucieuse, ce qui, étrangement, rassura la trentenaire dont le regard n'exprimait plus qu'amour et ne reviendra il ne reviendra pas...La grande femme ne put qu'être surprise du soudain rire, franc et profond, de Ludmila, quoique cristallin. Pourquoi ris-tu donc ? A quoi viens-tu de penser, petit chat ? Oh ! Et que ne puis-je me laisser entrainer par ton euphorie ! Voilà que je souris également, mon regard se faisant plus doux encore, plus attentif, alors que mes lèvres daignent enfin parcourir mon visage plus ? Je lis tes yeux pleins de malice. L'alcool te fais perdre la tête ! A moins qu'il n'en soit de même pour l'Amour ?Ah, ah !Mon dieu, je m'égare !Quelle ne fut pas la surprise pour Dominura que de sentir les adorables baisers de sa belle sur la surface de ses lèvres maquillées, encore, et encore, sous ce rire spontané, charmant. Baisers complices et amoureux, c'en était certain. Cela ne manqua pas de finir de réchauffer le coeur de la grande femme, balayer tous ses doutes Non, tu ne les préfères pas à moi. Oui, tu me gardes de ton temps, de ton tu es heureuse... Lorsque tu me tu es heureuse... De nos instants passés dieu, voilà que je te souris de plus belle, Emue et troublée de ces aveux si sincères, me prennant au coeur, une fois de si je ne ris pas,Mon euphorie est tout de même présente,Alors que je ne pleure pas mon bonheur mais le ressens du plus que l'élan, la grande femme passa ses mains sur les joues de sa belle, l'attirant à elle, encore plus, laissant entendre dans un souffle passionné, amoureux, mais aussi euphorique, "Et moi d'autant plus, Ludmila."L'entrainant à elle, à quelques centimètres, elle ajouta"Je t'aiiime... !"Dominura happa alors les lèvres de son aimée, laissant glisser les siennes par-dessus, lui offrant un fougueux puis langoureux je t' seul Pourrait te dire entraine-moi encore ! Tu me dois une danse,Chaton.<3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Dim 11 Oct - 2327 Euphorie, euphorie. <3Ludmila semblait avoir déjà oublié ce jeune homme qui l’avait si brusquement arraché à son amour, laissant son rire s’échapper comme sans doute elle ne l’avait jamais fait. Rire libérateur, au fond. Car si la jolie blonde cachait bien souvent ses peines, elle pouvait tout aussi bien cacher ses joies. N’aurait-elle pas ris de cette manière, le jour où Dominura l’avait embrassé pour la première fois, faisant d’elle une femme – certes effrayée – mais aussi et surtout très heureuse ? Bien sûr que si, si l’alcool l’y avait aidé. L’alcool faisait se décupler ses émotions ? Non. Il leur permettait seulement de sortir, Ludmila s’extériorisant enfin aux yeux de sa suis à je t’ je me fiche de ces voudrai simplement rester avec toi,T’embrasse, Te toucher,Danser.<3Et boire encore, pour que cela dur toujours ?Ca n’est pas la meilleure façon de penser, petit sais que si l’alcool peut aider à passer une bonne soirée, Il peut tout aussi bien la détruire, sans pour l’instant, et malgré quelques désagréments extérieurs, ne pouvait-on pas dire que la soirée se déroulait merveilleusement bien entre ces deux femmes ? Elles ne pouvaient certes pas afficher ouvertement leur amour, mais puisque celui-ci était bel et bien présent, sincère et profond, était-ce si important ? D’autant plus qu’elles étaient pour l’instant seules, dans ce vestiaire où personne n’avait de véritable raison de pénétrer à cette heure déjà tardive de la soirée, mais pas assez pour déjà en prendre congé. Quelqu’un qui aurait besoin d’un quelconque objet, dans son sac ? Cela était possible, mais Ludmila n’y songeait pas, tandis que ses lèvres happais amoureusement celles de son mains de l’artiste venant rejoindre ses joues, ne pouvant que garder un large et lumineux sourire face à celui de sa conjointe, Ludmila sentait des sortes de vagues de chaleur s’emparer d’elle, l’emportant davantage dans une sorte d’excitation enfantine qui la laissait presque sautiller sur place. Et moi d’autant plus, Ludmila. »Oh, oui, je sais à quel point tu m’ le sais, tant tu as déjà tant résisté à ce caractère étrange qui peut-être le miens, provoquant tes sentiments, provoquant ta douleur. Comme si chaque nouvelle épreuve était un test, pourtant non prémédité, je t’assure. Mais j’aime à savoir que tu m’aimes ainsi, craignant, au fond, que mon amour n’en vienne à surpasser le tiens, me faisant souffrir davantage. Un déséquilibre me semblerait dramatique, tant nous avons été jusqu’ici si fusionnelles. J’aime cet accord, délicieux. J’aime lorsque tu me regardes ainsi. J’aime, aussi, lorsque la chaleur de nos corps se mêlent, et nos esprits se lient, en un seul regard. Tu es à suis à pensons plus aux Evidemment, cela était tout à fait impossible, quoi que Ludmila aurait volontiers accepté de ne voir que son aimée, indépendante de qui que ce soit d’autre, tant professionnellement que sentimentalement. Mais après tout, n’étaient-elles pas d’autant plus fortes, à être ainsi liées, tandis que des milliers de gens les envieraient, d’être avec l’une, comme avec l’autre ? t’aimeTellement.<3…Finalement, Dominura attira un peu plus encore son ex-assistante, lui offrant cette fois-ci un peu langoureux baiser, que la jeune Russe ne manqua pas de lui rendre, amoureusement, ses mains descendant sensuellement contre le corps de sa conjointe, à plat. L’une d’elle était finalement venue se poser sur la hanche de l’illustratrice, partant vers l’arrière puis descendant doucement, tandis que l’autre avait tout simplement glissé de son cou pour se rapprocher du décolleté de la belle brune, contre sa poitrine, laissant le bout de ses doigts caresser la limite de son soutien-gorge, par-dessous cette robe qu’elle avait quelque peu <3Sentant son corps s’emporter davantage, mais gardant tout de même un brin de raison, Ludmila décida tout de même – mais avec peine – de se reculer quelque peu, offrant un dernier baiser à sa belle avant de se détacher complètement d’elle, ne prenant que sa main dans la sienne afin de ne pas briser complètement ce lien si plaisant. Ca n’est pas pourrai te déshabiller dans ces quelqu’un pourrait !… n’est-ce pas d’autant plus excitant ? Non. Non. Non. .Ne pas toucher. XEn effet, Ludmila devait prendre sur elle, vraiment, pour ne pas se jeter davantage sur son aimée, craignant tout autant de la blesser en agissant ainsi que de se faire surprendre par l’un de ses collègues. Oh, ça n’était pas si grave, pour elle. Mais Dominura ne devait pas salir sa réputation. Et si quelqu’un la voyait ainsi, et allait tout répéter ? Les médias finiraient par le savoir, et sa vie – celle de Ludmila par la même occasion ? – pouvait devenir un viens, retournons danser, avant que je ne contrôle plus mon son aimée jusqu’à la sortie, Ludmila s’arrêta néanmoins net devant la porte, attirant vivement Dominura à elle en la prenant par les hanches, laissant leurs corps se cogner doucement tandis que son dos restait contre la porte. Rapprochant une dernière fois son visage du sien, la jolie blonde dévora à nouveau les lèvres de la belle française, surexcitée, avant de dériver malicieusement sur sa joue, puis dans son cou, avec un certain empressement. Je te de Mhmm. <3Laissant échapper un léger gémissement sensuel et volontaire, passant délicieusement sa langue proche du lobe de l’oreille de son amante, Ludmila ajouta par la suite, non sans se montrer tout aussi aguicheuse, malicieuse - Retournons-y, avant que je ne te dévore dans ce se retourna, et ouvrit la porte, attirant à nouveau Dominura jusqu’à la salle plein de monde, puis vers la piste de danse, lui tenant fermement la main, sans s’inquiéter de ce que pourrait en penser les autres toutes deux se retrouvèrent donc à nouveau proches du buffet, Ludmila ne manquant pas de prendre un verre au passage, en proposant un à sa conjointe par la même occasion. Le sixième, n’est-ce pas ?Oh, et sans doute le dernier. Un de plus serait vraiment déraisonnable, à Ludmila ne tarda pas à se laisser quelque peu emporter par la musique, attirant son amante plus au centre et prenant ses mains pour la faire danser avec elle, la dévorant des yeux par la même occasion.♪ Take On Me ♪Prends-moi ? de regards, entendus et quelque peu provocant de la part de Ludmila, qui jouait de son corps autours et parfois contre sa belle, attirant sans doute bien des regards, mais ne se préoccupant que de celui de que j’ que je tête tourne et il me semble que mon corps s’agite tout pas un comportement dangereux pour notre petit secret ?Oh, je ne peux m’en tourner contre moi,Et prends-moi.<3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Lun 12 Oct - 022 Dis, petit chat. Crois-tu que des gens rentreront dans ce vestiaire ? Crois-tu que l'on nous surprendra, ainsi dans les bras l'une de l'autre, mes mains sur tes hanches, tes lèvres contre les miennes, alors que je ne cesserai mes baisers pour rien au monde, jusqu'à ce que j'y sois forcée ou résolue ? Ah, ah ! Que personne ne vienne, ou j'en ragerais de tant d'injustice. Pourquoi n'aurais-je pas droit à mon moment seule avec toi, me laisser aller à ma vie, mes envies ? Ton sourire m' la même chose, de mon coté ?Je l'espere grandement, alors que mon amour surpasse les messages que mon regard te lance. Oh, dieu ! Que ne puis-je me jetter sur toi, en l'instant, à t'arracher quelques baisers, quelques envies, assouvrissant quelques mauvais ou bons désirs ! Hmmh ! Tu es tellement attirante, jolie fleur. Et ce n'est pas le rose de tes joues qui me demandera de m'éloigner, n'est-ce pas ? Pas plus que le contact de nos corps, mes frémissements comme les tiens qui me parcourent de part en part...Ah ! Je m'égare. Tu es à moi,Je suis à si, pour toi, il y a les autres,Oublies-les un instant ! Et pense à nouveau à sous les regards et les caresses que je te porte, moi-même entrainée par mon amour et cette passion fantastique que j'ai pour toi. Mais la passion n'est-elle pas négative ? T'aimer à en souffrir... Oh. Peut-être bien, quelquefois. Mais encore ? J'en suis d'autant plus heureuse que notre amour soit si fort. Heureuse. Contente. N'est-ce pas merveilleux. Fusionnelles ? Un élan fantastique, un couple-balance, survivant aux repproches, se construisant pour aller de l'avant, encore et toujours, profitant des beaux instants, jouant de l'âme pour paraitre encore. Mais viens, viens donc ! Sois plus proche, encore. Plus proche de moi, plus proche de nous. Et si l'alcool ne m'égare pas tant, il me fait m'emporter quelque peu sur des sentiments qui ressortent plus que je ne le voudrais Je voudrais te serrer contre moi, fort, vivement,Que tu saches !Oui, que tu si... Tu ne savais pas tout cet que si ?!Oh, mon dieu, je ne sais plus !Qu'est-ce donc que cette attirance mêlée de cette tantôt douce, tantôt violente affection que je te porte ?! Je m'en grande femme frémit une fois de plus lorsqu'elle sentit les doigts de son aimée passer proche de son décoleté, jusqu'à frôler, en venir à décaler sa robe, s'égarer vers son soutient-gorge, charmant et tentant. Fourbe qu'elle était ! Mais l'Illustratrice ne devait pas s'en laisser entrainer, sans doutes, ou elles risqueraient bien des choses, si jamais quelqu'un en venait à passer par là. Heureusement, la jeune russe se décala finalement de son aimée, portée par sa raison, gardant tout de même un brin de contact, lui tenant toujours la main. Un moment, Dominura se sentit presque défaillir de désir, alors que ses yeux demeuraient rivés sur la belle blonde, ses lèvres s'entrouvrant sous l'intense concentration, l'abominable attirance qu'elle avait pour elle. Dieu merci, Ludmila décida de dynamiser leurs contacts, l'entrainant avec elle vers la porte Allaient-elles danser ?Oh, oui, une petit danse !A cette idée, Dominura lâcha, à sa propre surprise, un léger rire bien, belle française ? Que t'arrives-t-il ? Te laisserais-tu entrainer par ton euphorie et ton bonheur d'avoir été ainsi rejointe par ton amour ?Mais l'idée ne fut pas poussée jusqu'au bout pour le moment, l'ex-assistante poussant son ainée contre la porte, au lieu de la !!Mais... Que fais-tu ?Leurs corps s'entrechoquèrent doucement, mais avec une certaine violence d'envie, Ludmila passant alors ses lèvres contre celles de son ex-patronne, les dévorant avec fougue et hargne passionnelle. Hop, hop, et ses baisers, sa langue, dérivèrent vers la peau de la grande femme, qui ne put s'empêcher de rejeter légèrement la tête vers l'arrière, contre la porte, fermant les yeux et lâchant un"MmmhHh..." <3Relativement sensuel... Donc inévitablement excitant, pour tout non, elles ne devaient pas aller plus loin ! Elles ne le devaient pas ou regretteraient-elles peut-être d'être rentrées dans ces vestiaires, à la possible vue de n'importe qui ! Mon dieu... Mon dieu. Vite, partons d'ici, avant que je ne perde contrôle !Et... Noooonn... Ne gémis pas de la sorte... Ne viens pas... Si proche... !Rougissant encore plus, la grande femme ne put réprimer un intense frisson aux paroles de sa belle, ne pouvant cependant pas y répondre, gardant les lèvres entrouvertes, rouvrant les paupières. Mais a peine eut-elle le temps de reprendre sa respiration, Dominura fut entrainée au dehors, puis sur la piste de danse, ne comprennant qu'à moitié ce qu'il se passait, refusant par principe le verre que Ludmila lui proposait J'ai bu, pendant que tu dansais, petit chat. Je ne... puis me permettre plus. Et puis. Je tiens moins bien à l'alcool que toi, non ?Take on me ♫Je m'égare encoreEt mon regard croise le sourires reviennentMais sont bien plus sincèresJe suis totalement dans notre monde,Notre monde à nous...Un léger rire te le prouve, délicatement sincère, alors que j'ose danser,Danser avec toi,T'offrir cet instant, Et je t'aguiche aussi,A l'ombre des regards alentours,Laisse-moi me tourner encore vers toi, laisse-moi rapprocher mon corps du tien, laisse-moi être déraisonnableEt ce regard qui t'accrocheEt cette brillance au fond de mes yeuxEt cette caresse, que je te fais du bout des doigts contre le poignet, puis parfois un peu plus hautViens,Viens à moi,Offre-moi cette danse,Et abandonne-toi à moi,EncoreUne fois Laissons le rythme nous surprendre. <3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Lun 12 Oct - 1833 Bien que Dominura et elle soient entourées de dizaines de personnes, toute quelque peu serrées sur cette piste de danse bien peu large, il semblait à présent à Ludmila que seule sa conjointe était présente, ses yeux ne voyant qu’elle, ses oreilles n’entendant que la musique qui les musique semble loin, mais à la fois si bruits sourds me font tourner la tête. Ou plutôt es-ce l’alcool ?Tu es belle. Attirante. Terriblement à danser, gracieuse et pour l’instant relativement correct par rapport à sa relation avec la charmante française aux yeux des autres, Ludmila sentait néanmoins son corps commencer à sombrer doucement dans une euphorie plus inconsciente, ne ressentant pas une once de fatigue, oubliant absolument tout. Tout, sauf bien évidemment la femme qu’elle aimait, et qui attirait donc toute son te corps se peu ?Frémissant une fois de plus, sans vraiment que cela soit provoqué par quoi que ce soit de plus que la simple vue de la belle brune, Ludmila sentie peu à peu son sourire disparaître, ne laissant plus sur son visage qu’une malice évidente et provocatrice, un regard brûlant de désir, dont l’effet ne pouvait qu’être amplifié par les lèvres rouges restant très légèrement entrouverte de la jolie lente, malgré le rythme effréné qu’avait finit par adopter son cœur, entrainé par la danse et l’euphorie, le bonheur de se trouver ici, uniquement pour ne plus songer qu’à Dominura, leur relation, oubliant tous ces petits tracas quotidiens qui parasitaient souvent leurs entrevus. Et puis, il fallait aussi dire que la jeune Russe aimait ce genre d’ambiance. Etait-ce le cas de son amante ? Oh … En tout cas, elle semblait s’amuser, aguichant Ludmila tout autant qu’elle le faisait avec elle, usant de regards et de rapprochements furtifs mais te frôle, corps se rapproche du tiens, dangereux,Puis recule quelque peu, tandis que je mordille mes lèvres d’envie, espérant, au fond, que tu craques la première et m’embrasse ici-même, devant quelques regards qui passeraient au hasard, mais s’arrêteraient sans si grave ? Déjà très peu raisonnable en temps normal, Ludmila ne l’était pas plus ce soir, bien au contraire. Ses envies prenaient le dessus, quoi que sa raison puisse ressurgir parfois, au moment même où la jeune femme s’apprêtait à faire quelque chose qu’elle pourrait peut-être regretter par la suite. Après tout, contrairement aux soirées qu’elle passait sans Dominura, Ludmila avait bel et bien un risque de tout perdre, si jamais son attitude blessait à nouveau son aimée. Mais serait-ce seulement possible ? Que Dominura soit en colère parce que sa conjointe avait accepté officieusement une danse avec un autre était compréhensible. Mais Pourrait-elle lui reprocher de l’avoir regardé sans relâche, totalement fascinée et douloureusement désireuse de voir leurs corps se rejoindre enfin ? Ludmila ne voyait qu’elle. Et si l’alcool qu’elle avait pu boire la rendait quelque peu trop flagrante, trop agitée, Dominura ne pourrait néanmoins plus douter du fait qu’elle était belle et bien la seule femme dans la cœur et l’esprit de son musique, le monde, l’ est secondaire. Et je me rapproche, ne me rendant pas forcément compte, jusqu’à trébucher quelque peu sur mes talons, me rattrapant à toi avec délicatesse et classe. Mes talons sont sans doute trop hauts pour ce genre de danse, n’est-ce pas ? Peu importe, me voilà dans tes bras. <3Oh oui. Bien vite, et sans l’avoir pour autant prémédité, Ludmila avait les bras posés sur les épaules de son amante, n’ayant pas le reflexe de les retirer après s’être excusé brièvement pour cette petite perte de contrôle de son corps. La jeune Russe s’excusa, certes, mais ne pu toutefois s’empêcher d’en rire, repartant dans une sorte d’euphorie délicieuse et adorable, son corps, son cœur, ses joues chauffant davantage sur le franc, alors que Ludmila tardait encore à se défaire de sa belle, chaque seconde ne faisant que rendre plus difficile une future séparation. Finalement, inconsciente qu’elle était, et après s’être quelque peu calmé, Ludmila laissa ses mains glisser sur les épaules de son amour, puis rapprocha son visage de son cou, ses lèvres venant lui souffler quelques sensuelles paroles à l’oreille, cette fois-ci clairement provocante, prenant cette voix terriblement sensuelle et brûlante d’un désir suppliant - Mhmmmh … Embrasse-moi … HhhH. <3 Laissant ses lèvres entrouvertes, ces dernières vinrent alors frôler l’oreille, puis la joue de la belle illustratrice, lorsque Ludmila détourna doucement son visage dans l’intention de le reculer. Haussant légèrement les sourcils avec malice lorsque son regard vint se poser à nouveau dans celui de Dominura, la jeune Russe laissa ses mains glisser doucement le long des bras de cette dernière, y exerçant une très légère pression tout en venant consciemment frôler sa poitrine par la même trop loin ?Oh … Personne n’avait remarqué tout, les autres invités étaient tout autant pris dans leurs danses ou conversations sourdes qu’elle, et ne faisait pas plus attention au jeune couple qu’à qui que ce soit d’autre n’étant pas dans leur cercle. Tant mieux ? Je ne sais pas. J’aimerai qu’ils sachent, au fond. Mais oserais-tu ?Je te laisse ce mes principes ont disparus, je ne perds néanmoins pas le respect que j’ai pour toi. Je ne veux pas te prendre au dépourvu. Mais n’est-ce pas ce que j’ai déjà commencé à faire ?Peut-être puisque tu n’affiches pour l’instant aucune contrariété, je ne peux m’empêcher de te tenter davantage, testant peut-être tes limites, les miennes ? Comme ce voyage en France était beau, mon Ange. J’y songe, en me remémorant tes mots Nous n’avons aucunes limites ».En avons-nous, ce soir ?Je ne sais tellementEnvie de toi.<3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Lun 12 Oct - 2031 Et nos corps se frôlent,Et nos mains se touchent,Et nos chairs s'embrasent, Et nos regards se déchainent d'attirances et de tentations !Mais je ne puis tant t'approcher que je le voudrais. Cela serait mal, n'est-ce pas ? De me permettre d'être si proche que je pourrais t'en embrasser les lèvres, les frôler encore, les dévorer ensuite, tandis que mon euphorie me fait croire que je n'en ai pas eu assez, dans les vestiaires, alors qu'il en était déjà bien trop Nous n'étions pas même sencées pouvoir nous laisser ainsi aller, ce soir. N'avons-nous pas déjà beaucoup fait ?Oh, nous ne sommes pas raisonnables,Et en voulons que tu es, fourbe que je suis, derrière nos yeux pétillants de malice, brûlants d'envie, sous ces regards tentants et sous-entendus... Sois à moi, encore un peu, encore plus ! Ahah, je me perds à la déraison, et les ampleurs des dégats de l'alcool troque mon habituel serieux contre une couche de rire franc et cristallin, alors que notre emportement n'est rien, là, dans cette foule tout aussi ébétée par l'ambiance que nous pouvons l' ne nous jugera. Pas pour le moment, du moins. Mais tenons-nous donc ! Il ne faudrait pas sombrer à nos envies et faire quelque chose que nous pourrions regretter, n'est-ce pas ? ... Je ne regretterai jamais ce genre de choses, avec toi, Ludmila. Au contraire, je me réjouirais d'en avoir eu ce plaisir, et au diable les alentours ! S'ils ne peuvent reconnaitre mon talent de par leurs frustrations ou leurs rejet de la différence, alors j'en crèverais sous les ponts, mais ne m'en blesserai pas ! Je n'ai pas à être reconnue par des gens incapables de se réjouir du bonheur et de la stabilité des autres, préférant se voiler la face à ésperer n'importe quoi !Je m' m'emporte certainement...Je ne veux pas avoir à regretter mes gestes et ne veux pas non plus avoir à me ne veux pas me retrouver loin de tu sois détruiteEt que j'aie à en souffrir plus que de ma propre accordons nous cette danse, mais évitons de se laisser tenter devant toutes les personnes ici présentes, d'accord ? Je ne veux pas que nous gâchions nos vies pour un moment emporté par l'alcool, qui ne demeurera peut-être pas comme positif dans ton esprit lorsque tu pourras avoir des doutes quant à notre ne veux que ne veux pas d' je t'en prie, entraine-moi plus loin, que je succombe, que je tremble sous tes doigts !Mais ne me laisse pas ici, alors que nous nous tournons autour tels deux fauves, prêtes à se sauter dessus. Qui donc cèdera la première ? Je sens mes joues s'emporter de rougeur, ne portant pourtant pas atteinte à ma stature et mon équilibre, ma classe, que je tente, à raison, de conserver. Les frissons font en moi l'effet des courants electriques, les frémissements passant dans mes bras menaçent de faire partir mon coeur à la chamade, tandis que j'essaye, tout de même, de me contrôler. Mais nos rapprochements ne sont pas vraiment d'aide à notre sagesse que nous nous devons d'avoir, n'est-il pas ?Je m'égare, Tu t'égare, ! Je te vois trébucher. Semi-consciente, je te rattrappe, d'un sourire passionné, d'une attention sans égale, emportée par la musique et notre charmante entrevue artistique. Que le rythme nous emporte, tu te laisse aller à mes bras. Dieu ! Que tu me tentes, une fois de effet, Ludmila, se perdant à la dangerosité de danser sur ses talons bien hauts, ne tarda pas à devoir, très gracieuse, se rattrapper sur les épaules de son aimée, engageant quelques rires, d'elle-même et de cette dernière, inévitablement, sous l'effet de l'alcool notamment, provocant cette audacieuse euphorie. Dominura ne se formalisa pas, un peu à côté de la plaque et profitant bien du contact avec son amour, du fait que la belle russe reste autant de temps rapprochée, là, se tenant à ses épaules, tardant à se défaire d' l'option ne se posa plus tellement, Ludmila arrivant bientôt plus proche encore, passant ses lèvres vers l'oreille de sa conjointe, y susurrant quelques mots diaboliques, sensuels et terriblement <3Mon dieu, Euh... Non ! Ne pas réagir ainsi. Gniiih... Non ! Ahha... Ahhhhah !Evidemment, à cex termes, l'euphorie, la tentation, le désir, les frémissements se firent plus aigus encore, l'euphorie de Dominura ne l'arrêtant en rien. Ne frôles donc pas ainsi ma joue ! Ne laisses pas tes lèvres entrouvertes comme les miennes !Oh, mon dieu... J'en perds la raison !Sorcière !La grande femme, sous le rythme de la musique, ne put alors resister, la suite de ses gobelets d'alcool lui passant dans le sang, se mélant à ses sentiments et ne l'aidant pas à contenir ses principes et son éternelle sagesse. Alors, comme si personne ne pourrait jamais la reconnaitre, elle laissa calmement ses mains remonter le corps de son aimée, la charmante Ludmila, et, camouflée entre tous les danseurs, les laissa passer contre ses regard brillant,Pétillant, Les lèvres entrouvertes,Elle voulut un instant la repousser, s'en cela ne se fit pas,Et, suivant ou contre toute attente, Dévorant Ludmila du regard, Elle finit également par lui dévorer les lèvres,En un fougueux mais passionné baiser,Collant son corps contre elleEt se délectantDe ce délicieux parfum CeriseQu'elle aimait tantPeut-être trop, ce soir-là.<3 Contenu sponsorisé Empire State of Mind Sujet Re [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ [.] Les fleurs éclosent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Page 1 sur 2Aller à la page 1, 2 Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumNEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille
Paroles de C'Est Beau La Vie par Isabelle Aubret1. Le vent dans tes cheveux blonds Le soleil à l′horizon Quelques mots d'une chanson Que c′est beau, C'est Beau La Vie {Refrain} Tout ce qui tremble et palpite Tout ce qui lutte et se bat Tout ce que j'ai cru trop vite A jamais perdu pour moi 2. Un oiseau qui fait la roue Sur un arbre déjà roux Et son cri par dessus tout Que c′est beau, C′est Beau La Vie. 3. Pouvoir encore regarder Pouvoir encore écouter Et surtout pouvoir chanter Que c'est beau, C′est Beau La Ferrat Jean, Senlis Michelle, Delecluse Claude Aucune traduction disponible
Paroles de Admiral T - Pas De Temps a Perdre Refrain Le temps m'est précieux comme pour un homme atteint d'un cancer La vie n'est qu'une aventureéphémère Je n'ai pas de temps a perdre hey!, pas de temps a perdre hey! Le temps file garçon aussi vite que l'éclair Il nou attendra pas c'est clair, Je n'ai pas de temps à perdre hey! , pas de temps à perdre hey! Je passe mon temps à travailler, m'occuper de mon foyer De temps en temps jober pour payer le loyer Je n'ai pas de temps pour les futilités J'en profite jusqu'à ce que mon coeur n'ait plus de tonalité Trop de violence à la télé, ça rend certains jeunes fêlés Donc résultat, dansla rue PAPAA.. yo ka chèché lélé Joue pas avec ta vie, Tu n'as rien à prouver si tu veux mon avis Faut penser à demain tout en vivant l'instant présent Proiter de ce beau cadeau que nous a fait le Tout Puissant Tu n'en a pas deux et qu'elle seule et tu le sais La vie n'est qu'une aventure éphémère Refrain Le temps m'est précieux comme pour un homme atteint d'un cancer La vie n'est qu'une aventureéphémère Je n'ai pas de temps a perdre hey!, pas de temps a perdre hey! Le temps file garçon aussi vite que l'éclair Il nou attendra pas c'est clair, Je n'ai pas de temps à perdre hey! , pas de temps à perdre hey! De temps en temps je prends du bon temp, Profite du beau temps, j'attends que le temps passe Quand on passe tant de temps à traivailler faut un passe-temps Sa vie à batailler faut un passe-temps ten ten ten Car c'est important, même si t'es bien portant Tu ne vivras pas longtemp avec ce qu'on boit, ce qu'on mange, on vivra pas 100 ans Refrain Le temps m'est précieux comme pour un homme atteint d'un cancer La vie n'est qu'une aventureéphémère Je n'ai pas de temps a perdre hey!, pas de temps a perdre hey! Le temps file garçon aussi vite que l'éclair Il nou attendra pas c'est clair, Je n'ai pas de temps à perdre hey! , pas de temps à perdre hey! La vie est une belle femme et je l'aime Je n'attendrai pas un drame pour lui avouer je la préserve et prends soin d'elle Car elle est sensible et fragile x2 Tou lé maten lè mwen lévé obligé rèmewsié bondié Pou santé pou prospérité Diy kè mwen content dè la vi E menm lé jou sa pa ka lé, mwen paka janmé déprimé Mwen pa ka lagé pass tini pir ki mwen an dot koté Refrain Le temps m'est précieux comme pour un homme atteint d'un cancer La vie n'est qu'une aventureéphémère Je n'ai pas de temps a perdre hey!, pas de temps a perdre hey! Le temps file garçon aussi vite que l'éclair Il nou attendra pas c'est clair, Je n'ai pas de temps à perdre hey! , pas de temps à perdre hey! Je passe mon temps à travailler, m'occuper de mon foyer De temps en temps jober pour payer le loyer Je n'ai pas de temps pour les futilités J'en profite jusqu'à ce que mon coeur n'ait plus de tonalité Trop de violence à la télé, ça rend certains jeunes fêlés Donc résultat, dansla rue PAPAA.. yo ka chèché lélé Joue pas avec ta vie, Tu n'as rien à prouver si tu veux mon avis Faut penser à demain tout en vivant l'instant présent Proiter de ce beau cadeau que nous a fait le Tout Puissant Tu n'en a pas deux et qu'elle seule et tu le sais La vie n'est qu'une aventure éphémère Refrain Video de Admiral T - Pas De Temps a Perdre Commentaires sur Admiral T - Pas De Temps a Perdre Aucun commentaire sur Pas De Temps a Perdre pour l'instant... Commenter la musique de Admiral T - Pas De Temps a Perdre D'autres titres de Admiral T Thématique sur la chanson Pas De Temps a Perdre de Admiral T
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